1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
1 ne bourgeoisie qui n’avait plus le courage de ses partis pris, la vulgarisation de la psychanalyse a beaucoup fait pour dévalo
2 ée montante de l’Éros. Et je ne prends pas ici de parti général et sans appel, chacun des termes, que je viens d’opposer, m’a
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
3 s défendus sans scrupules par les élites des deux partis . Je ne vois guère d’autres interdits vraiment redoutables, aux yeux d
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
4 nce aux désirs de sa mère. Il ne peut prendre son parti de la commune condition humaine. Une incurable mélancolie le possède
5 as accepté l’invraisemblable, il ne serait jamais parti pour un pays dont il ne savait rien. Mais accepter l’invraisemblable,
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
6 pas un homme tout à fait plat, réduit à quelques partis pris éthiques ? Ce débat nous éloignerait de la réalité de Gide. Une
7 s lois fatales et collectives interprétées par un Parti . C’est pourquoi le problème religieux, tel qu’il se pose au monde chr
8 dans notre siècle. Elles relèvent de l’esprit de parti , qui est le contraire de l’amour du prochain. Elles ne sont ni chréti
9 ance, — parce qu’un de plus vient renforcer notre parti , et qu’il n’est pas le premier venu. C’est usurper la place du Juge,
10 t justement le totalitarisme, qui est l’esprit de parti logiquement développé. Et d’abord dans la religion. Le vrai croyant d
11 s, sanctionnée par la Mère. Donc Gide « prend son parti de dissocier le plaisir de l’amour ». Et même il fait de cette nécess