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ne bourgeoisie qui n’avait plus le courage de ses
partis
pris, la vulgarisation de la psychanalyse a beaucoup fait pour dévalo
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ée montante de l’Éros. Et je ne prends pas ici de
parti
général et sans appel, chacun des termes, que je viens d’opposer, m’a
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s défendus sans scrupules par les élites des deux
partis
. Je ne vois guère d’autres interdits vraiment redoutables, aux yeux d
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nce aux désirs de sa mère. Il ne peut prendre son
parti
de la commune condition humaine. Une incurable mélancolie le possède
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as accepté l’invraisemblable, il ne serait jamais
parti
pour un pays dont il ne savait rien. Mais accepter l’invraisemblable,
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pas un homme tout à fait plat, réduit à quelques
partis
pris éthiques ? Ce débat nous éloignerait de la réalité de Gide. Une
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s lois fatales et collectives interprétées par un
Parti
. C’est pourquoi le problème religieux, tel qu’il se pose au monde chr
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dans notre siècle. Elles relèvent de l’esprit de
parti
, qui est le contraire de l’amour du prochain. Elles ne sont ni chréti
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ance, — parce qu’un de plus vient renforcer notre
parti
, et qu’il n’est pas le premier venu. C’est usurper la place du Juge,
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t justement le totalitarisme, qui est l’esprit de
parti
logiquement développé. Et d’abord dans la religion. Le vrai croyant d
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s, sanctionnée par la Mère. Donc Gide « prend son
parti
de dissocier le plaisir de l’amour ». Et même il fait de cette nécess