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blic confessionnel ou partisan pour confirmer ses
partis
pris, mais à tous ceux, chrétiens ou non, pour qui la religion est un
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r, ou au contraire faut-il nous affirmer comme le
parti
du sacré et de la transcendance ? Je répondrai : il faut faire tous l
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fonction du citoyen à l’intérieur de l’État ou du
Parti
, conformément au décret de l’État ou du Parti. Elles nient l’existenc
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du Parti, conformément au décret de l’État ou du
Parti
. Elles nient l’existence de toute différenciation ou la qualifient de
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es nouvelles : on s’en tenait au vieux régime des
partis
, ou à la solution totalitaire de type marxiste. La conscience communa
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théorie psychoanalytique, ou d’une hygiène, d’un
parti
, etc. il en résulte que les lieux communs — on dirait aujourd’hui les
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ossières, mais provisoirement efficaces. C’est le
parti
qui dicte le véritable sens des mots, recréant ainsi une apparence d’
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s, recréant ainsi une apparence d’ordre. C’est le
parti
qui fournit également et qui impose les nouveaux symboles, c’est-à-di
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penser que les mots paix ou liberté, que tous nos
partis
, doctrines et sectes révolutionnaires tirent de leur côté et précisen
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che de mariage, établie par les fonctionnaires du
parti
sur la base de mensurations physiques, de pedigrees, et de certificat
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fie : dialectique. C’est en fait, l’obéissance au
parti
, l’obéissance aveugle à Staline, dépositaire unique de la doctrine. Q
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mettons les détours dialectiques, de l’action du
parti
communiste22. La « cause » justifie les moyens… Mais alors, comment n
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r un glissement inévitable au rang de doctrine du
parti
, devait sortir la « vérité » tactique du matérialisme vulgaire, celui
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errain que l’on dit réaliste, à supposer que le «
parti
chrétien » eût triomphé, rien ne l’eût empêché de subir le sort fatal
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u’il juge adéquats aux intérêts momentanés de son
Parti
et de sa classe. Ainsi Staline peut justifier en bonne doctrine « dia
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st ainsi qu’on a vu Zinoviev, par « fidélité » au
Parti
, c’est-à-dire à l’avenir du Parti, proférer des aveux mensongers qu’i
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« fidélité » au Parti, c’est-à-dire à l’avenir du
Parti
, proférer des aveux mensongers qu’il croyait tactiquement utiles. Ima
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ant qu’un vrai chrétien juge bon de s’inscrire au
parti
communiste ou de militer en sa faveur : l’alternative où il se place
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cepte les disciplines d’action que lui impose son
parti
, et qui comportent la haine et le mensonge : mais alors pour sauver l
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faut donc en préparer une autre, et prendre enfin
parti
, positivement, dans l’immense lutte qui va mettre aux prises l’étatis
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ligions qui ne sont pas les nôtres. Je prends ici
parti
contre une telle entreprise, pour les mêmes raisons, mais aggravées,
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ibilités de victoire réelle de l’un ou de l’autre
parti
. L’examen objectif des forces en présence ne permet d’envisager pour
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tégrées au cours des deux dernières décades. (Les
partis
socialistes subsistant dans les pays où les Soviets ne règnent pas, s
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e ; en réalité, ce n’est qu’une réponse. Une fois
parti
, je m’aperçois bientôt que je n’étais faible que parce que je me tena
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carence générale des chefs, des doctrines et des
partis
est un appel à une autorité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pa
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en tracée, ou d’un processus dialectique, dont un
Parti
qu’on connaît trop tire les ficelles. Cessons de chercher le sens de
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ment plus poussé de la technique, non l’action du
parti
communiste, ni même de la classe ouvrière, qui sera l’agent du dépass
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ger ces chances comme on le ferait de celles d’un
parti
ou d’une nation, d’une idéologie ou d’une civilisation, car le christ
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’esprit. Le christianisme historique est aussi un
parti
, ou même un ensemble de partis, il est aussi une idéologie, et il est
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orique est aussi un parti, ou même un ensemble de
partis
, il est aussi une idéologie, et il est lié à une certaine civilisatio
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n système sans avenir ». Le christianisme est un
parti
(ou plutôt un ensemble de partis tantôt rivaux tantôt coalisésbw) dan
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istianisme est un parti (ou plutôt un ensemble de
partis
tantôt rivaux tantôt coalisésbw) dans la mesure où il se présente aux
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t peu probable qu’un des trois ou quatre grands «
partis
», le catholique, l’orthodoxe, le protestant ou l’anglican, arrive ja
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nt ou l’anglican, arrive jamais à s’imposer aux «
partis
» frères et à gagner à lui seul le monde non chrétien. Des différente
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ments politico-sociaux de l’ère contemporaine (le
parti
communiste et les divers régimes totalitaires) ont été amenés, par la
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ranée. L’Asie et l’Afrique noire l’ignorent. Quel
parti
le missionnaire chrétien peut-il tirer des nombreuses paraboles sur l
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rtes influences chrétiennes. Au Japon, l’essor du
parti
socialiste doit beaucoup à l’évangéliste Kagawa. En Afrique, ce sont
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e, et devenus chrétiens, qui prennent la tête des
partis
progressistes dans la plupart des États récemment libérés. bv. Éditi