1 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
1 blic confessionnel ou partisan pour confirmer ses partis pris, mais à tous ceux, chrétiens ou non, pour qui la religion est un
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
2 r, ou au contraire faut-il nous affirmer comme le parti du sacré et de la transcendance ? Je répondrai : il faut faire tous l
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
3 fonction du citoyen à l’intérieur de l’État ou du Parti , conformément au décret de l’État ou du Parti. Elles nient l’existenc
4 du Parti, conformément au décret de l’État ou du Parti . Elles nient l’existence de toute différenciation ou la qualifient de
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
5 es nouvelles : on s’en tenait au vieux régime des partis , ou à la solution totalitaire de type marxiste. La conscience communa
6 théorie psychoanalytique, ou d’une hygiène, d’un parti , etc. il en résulte que les lieux communs — on dirait aujourd’hui les
7 ossières, mais provisoirement efficaces. C’est le parti qui dicte le véritable sens des mots, recréant ainsi une apparence d’
8 s, recréant ainsi une apparence d’ordre. C’est le parti qui fournit également et qui impose les nouveaux symboles, c’est-à-di
9 penser que les mots paix ou liberté, que tous nos partis , doctrines et sectes révolutionnaires tirent de leur côté et précisen
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
10 che de mariage, établie par les fonctionnaires du parti sur la base de mensurations physiques, de pedigrees, et de certificat
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
11 fie : dialectique. C’est en fait, l’obéissance au parti , l’obéissance aveugle à Staline, dépositaire unique de la doctrine. Q
12 mettons les détours dialectiques, de l’action du parti communiste22. La « cause » justifie les moyens… Mais alors, comment n
13 r un glissement inévitable au rang de doctrine du parti , devait sortir la « vérité » tactique du matérialisme vulgaire, celui
14 errain que l’on dit réaliste, à supposer que le «  parti chrétien » eût triomphé, rien ne l’eût empêché de subir le sort fatal
15 u’il juge adéquats aux intérêts momentanés de son Parti et de sa classe. Ainsi Staline peut justifier en bonne doctrine « dia
16 st ainsi qu’on a vu Zinoviev, par « fidélité » au Parti , c’est-à-dire à l’avenir du Parti, proférer des aveux mensongers qu’i
17 « fidélité » au Parti, c’est-à-dire à l’avenir du Parti , proférer des aveux mensongers qu’il croyait tactiquement utiles. Ima
18 ant qu’un vrai chrétien juge bon de s’inscrire au parti communiste ou de militer en sa faveur : l’alternative où il se place
19 cepte les disciplines d’action que lui impose son parti , et qui comportent la haine et le mensonge : mais alors pour sauver l
20 faut donc en préparer une autre, et prendre enfin parti , positivement, dans l’immense lutte qui va mettre aux prises l’étatis
21 ligions qui ne sont pas les nôtres. Je prends ici parti contre une telle entreprise, pour les mêmes raisons, mais aggravées,
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
22 ibilités de victoire réelle de l’un ou de l’autre parti . L’examen objectif des forces en présence ne permet d’envisager pour
23 tégrées au cours des deux dernières décades. (Les partis socialistes subsistant dans les pays où les Soviets ne règnent pas, s
24 e ; en réalité, ce n’est qu’une réponse. Une fois parti , je m’aperçois bientôt que je n’étais faible que parce que je me tena
25 carence générale des chefs, des doctrines et des partis est un appel à une autorité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pa
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
26 en tracée, ou d’un processus dialectique, dont un Parti qu’on connaît trop tire les ficelles. Cessons de chercher le sens de
27 ment plus poussé de la technique, non l’action du parti communiste, ni même de la classe ouvrière, qui sera l’agent du dépass
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
28 ger ces chances comme on le ferait de celles d’un parti ou d’une nation, d’une idéologie ou d’une civilisation, car le christ
29 ’esprit. Le christianisme historique est aussi un parti , ou même un ensemble de partis, il est aussi une idéologie, et il est
30 orique est aussi un parti, ou même un ensemble de partis , il est aussi une idéologie, et il est lié à une certaine civilisatio
31 n système sans avenir ». Le christianisme est un parti (ou plutôt un ensemble de partis tantôt rivaux tantôt coalisésbw) dan
32 istianisme est un parti (ou plutôt un ensemble de partis tantôt rivaux tantôt coalisésbw) dans la mesure où il se présente aux
33 t peu probable qu’un des trois ou quatre grands «  partis  », le catholique, l’orthodoxe, le protestant ou l’anglican, arrive ja
34 nt ou l’anglican, arrive jamais à s’imposer aux «  partis  » frères et à gagner à lui seul le monde non chrétien. Des différente
35 ments politico-sociaux de l’ère contemporaine (le parti communiste et les divers régimes totalitaires) ont été amenés, par la
36 ranée. L’Asie et l’Afrique noire l’ignorent. Quel parti le missionnaire chrétien peut-il tirer des nombreuses paraboles sur l
37 rtes influences chrétiennes. Au Japon, l’essor du parti socialiste doit beaucoup à l’évangéliste Kagawa. En Afrique, ce sont
38 e, et devenus chrétiens, qui prennent la tête des partis progressistes dans la plupart des États récemment libérés. bv. Éditi