1 outes les formes totalitaires d’État-nation ou de Parti qu’on voyait triompher bruyamment dans ce temps, se constitue et se m

2 de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un parti national-marxiste dont le rêve est de restaurer la Prusse du grand Fr

3 nt du pouvoir sur toutes les Russies. En 1932, le parti ne compte encore que deux millions de membres, sévèrement contrôlées.

4 stes, et pas seulement la discipline aveugle d’un parti dont le chef allait signer le pacte scélérat (aussitôt acclamé par Ar

5 l’autre, il sera contraint de rompre avec ce même parti . Mais surtout, l’on peut voir se dessiner les lignes de force de la f

6 ouements incontestables, ils n’auront servi qu’un parti  : celui que Nizan maudit à la veille de sa mort. ⁂ Lorsque l’Union po

7 t avantagés, d’autant que le point de vue de leur parti n’était neuf pour personne, au contraire des autres. 21. Toute solut

8 sensible. Et je n’ai nulle envie d’en prendre mon parti . Dans ce qu’ils ont pu entrevoir de mon activité, une seule chose les

9 n’applaudira guère que le son de leur voix, ou le parti qui les délègue. Il resterait à expliquer cet état de choses, qui vou

10 millions de contemporains. D’autant plus que des partis politiques « dangereux » prennent soin de vous le rappeler avec une i

11 pays, sur les noms des notables et sur le jeu des partis politiques. Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une rés

12 de la mesquinerie hargneuse des polémiques et des partis pris, devenait légendaire et généreux, prenait le rythme et les coule

13 mentir ! On ne peut plus avoir confiance dans les partis . C’est aussi à cause de cette centralisation : qu’est-ce qu’ils saven

14 yen de faire un mouvement politique en dehors des partis et de voir une fois ce qu’il y aurait à changer pratiquement dans cha

15 éresse plus guère à leurs affaires. J’ai pris mon parti de cet équilibre indifférent et cordial qui a fini par s’établir entr

16 lement abêtis par l’école, par la presse, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon le

17 is ce n’est pas par la lecture qu’ils viennent au parti . L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se grouper afin d’entreprendre

18 ien ne se présente pour les soutenir. Ils vont au parti communiste parce qu’il n’y a rien d’autre et personne d’autre… Ce ser

19 e journaux, quand je m’informe des raisons de tel parti , de l’idéal de tel individu, et que je trouve partout la confusion, l

20 d’ennemis à gauche parce que la gauche, c’est le parti de la Raison et du Progrès, qui naît de la Science. C’est ce mari-là

21 dévia bientôt vers le fascisme. Un beau chaos de partis pris, d’erreurs de faits et de formules électorales ! Je demandai la

22 ds de l’amener à réfléchir sur les raisons de ses partis pris ? 21 février 1935 Un fort vent doux passe de grandes cares

23 ns des vieux ! » Quand on en est à cela, dans les partis d’extrême gauche, c’est que l’état social est à peu près paradisiaque

24 re » ! 21 avril 1935 Voici les affiches des partis , pour la campagne d’élections municipales. Quelle bouillabaisse de te

25 roite n’ose pas dire son nom dans ce canton.) Les partis de gauche ont fait liste commune : cela s’appelle le front antifascis

26 ux rentés de ce pays. Faut-il donc penser que les partis expriment tout simplement des attitudes morales différentes ? Ce sera

27 ités radicaux ou socialistes, ce serait d’être le parti de la vérité et du bon sens. Ils auraient avec eux tous les hommes — 

28 croire « chrétienne » —, il faut bien dire que le parti communiste se moque « objectivement » des pauvres hommes. Beaucoup, j

29 . Conclusion : il appartient à un seul chef, à un Parti , ou encore à une équipe de techniciens et d’hommes de poigne d’impose

30 des événements, conforme aux vues générales d’un parti , ou tout au moins à l’opinion moyenne telle qu’elle se trouve préform

31 n regard méfiant vers le voisin qui est membre du Parti . Morale de Sparte embourgeoisée. La Révolution ne serait-elle qu’une

32 on quitte le plan de la polémique (relative à des partis pris opposés mais incommensurables, et par nature, indépendants de to

33 gnée chaque semaine par l’organe universitaire du Parti , le Bewegung. Rien en France ne donnerait une idée de la violence dém

34 anifeste pas une « joyeuse » ardeur au service du Parti . Voici la « Prière du soir d’un Philistin » (Spiessers Nachtgebet) pu

35 la classe, corps étranger dans la nation. Et les partis bourgeois, sans qu’il nous en ait coûté beaucoup d’efforts, ont tourn

36 ne inertie conservatrice que lutte aujourd’hui le Parti .   Un « opposant ». — Je me promène avec un de mes étudiants. Il est

37 d’ailleurs de n’en point trouver, n’étant pas du Parti . Il a fait beaucoup de psychanalyse : « Cela m’avait même complètemen

38 s, deux de mes enfants sur trois sont pris par le Parti . Ma fille aînée a 18 ans. Elle est “Führerin” d’un groupe de jeunes f

39 z-vous que les parents gardent leur autorité ? Le Parti passe avant tout. Si nous voulions empêcher notre fils, qui a 15 ans,

40 rions une mauvaise histoire avec les autorités du Parti . Nous ne sommes que des civils pour nos enfants. Eux, ils se sentent

41 criaient une édition spéciale du journal local du Parti  : « Convocation du Reichstag pour demain ! » Onze heures du matin. J’

42 En l’honneur de la fête du Travail, le journal du Parti publie un photomontage qui couvre toute sa première feuille. Un marte

43 . » Il importe de distinguer entre les membres du Parti et les nationaux-socialistes ou porteurs de notre conception du monde

44 nde… Le Führer a en effet déclaré à la journée du parti de 1935 : “Le national-socialisme est une conception du ‘monde.’” Cet

45 le christianisme… » Le 24e point du programme du Parti n’entend parler que de “religiosité positive”. C’est uniquement parce

46 elle qu’il expose, mais la position officielle du Parti et du Führer. » À la suite de ce discours, l’étudiant et deux de ses

47 que « le temps vient où beaucoup de camarades du Parti seront désillusionnés, qui avaient cru mener un combat purement polit

48 ens : ils se figurent que le christianisme est un parti .) La vérité est autrement tragique. La vérité est que le très grand n

49 aucoup de vieux membres du NSDAP d’avant 1933. Le Parti ne leur en sait aucun gré. Le Parti n’aime pas les chrétiens. Ils son

50 vant 1933. Le Parti ne leur en sait aucun gré. Le Parti n’aime pas les chrétiens. Ils sont là comme l’œil de Caïn dans la tom

51 ndards. Trois-mille « chefs » des Jeunesses et du Parti attendent, rangés sur les quatre côtés, que s’allume à minuit le feu

52 à côté des porte-drapeaux de la vieille garde du Parti , quatre civils honteux, à la hauteur des bottes. Derrière nous, la pl

53 54. Vœlkischer Beobachter, quotidien officiel du Parti . 55. (Note de 1938.) Cet étudiant vient d’entrer dans le Parti. 56.

54 ote de 1938.) Cet étudiant vient d’entrer dans le Parti . 56. C’est la tête de M. Seiss-Inquart et de M. Henlein. 57. Le tem

55 er les lois économiques, les forces relatives des partis et des classes avant 1933, les circonstances politiques de l’Europe,

56 ommun que l’argent ou le défaut d’argent ; où les partis se multiplient et s’entredéchirent au hasard d’un jeu politique de su

57 es : « Faire le jeu d’Hitler » Qu’une prise de parti efficace suppose nécessairement et avant tout la connaissance objecti

58 pas une volonté de soumission aux mots d’ordre du Parti . Plus encore ceux qu’on soupçonne, bien qu’adhérents enthousiastes, d

59 marquablement documenté que n’aveuglent point les partis pris. » Le premier article assure que « les vieux lutteurs de la lutt

60 cles, publiés avec l’approbation indispensable du Parti , ils sont par définition suspects, mais j’admets que la plupart des h

61 el devant les exigences, préjugés et slogans d’un Parti communiste ou fasciste, voire démocrate. (Il était entendu que ceux d

62 olitiquement irresponsable, aux ordres d’un autre parti . Quant à l’aventure personnelle d’André Malraux en Chine, puis en Esp

63 ’Action française ou de démocratie chrétienne, de Parti communiste ou de Ligues préfascistes, où c’est en vain que l’on eût c

64 nore ou répudie la loi interne : la tactique d’un parti par exemple. Ce n’est pas dans l’utilisation accidentelle et partisan

65 nte. Un libéral qui se soumet aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas q

66 es philosophes libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique !

67 r nos censeurs 78. L’auteur fut l’un des chefs du parti hitlérien ; écœuré, il vient de démissionner (la scène se passe en 19

68 oupements organisés en Suisse, mais en dehors des partis politiques… — Oui, dit-il, c’est une idée. (Et pendant une seconde je

69 t bien le tout de notre vie suisse et non pas tel parti plutôt qu’un autre, qui est radicalement menacé. Pas un n’aurait la m

70 ce a produit une émulation inattendue du côté des partis . Il est incontestable que sans la Ligue, les « communautés de travail

71 e un militante du régime, brandissant sa carte du parti . Comme en Italie, les gens ne cessent de circuler d’un bout à l’autre

72 tout est fini. Vous dites merci, l’autre est déjà parti , et vous sortez sans qu’on vous demande un cent. 13 novembre 1940

73 qui dansent. Et ce n’est point que j’aie pris mon parti de l’insanité de la vie, mais la ressasser n’arrange rien. D’ailleurs

74 intime ou d’un visage aimé. Prenons-en donc notre parti . Sauf si l’on se borne à la géographie, ces entités ne souffrent pas

75 isse qu’on voit ces déchirures. J’ai donc pris le parti de circuler, malgré les résistances multipliées par une époque qui se