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large que possible non seulement des parlements (
partis
politiques), mais aussi des « forces vives » de chaque nation (syndic
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récuse formellement, comme une trahison envers le
Parti
étatisé ou l’État partisan. Le régime des universités, en Europe occi
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pourrait devenir dangereuse dans la mesure où le
parti
au pouvoir deviendrait totalitaire. Relevons que dans presque toute l
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at de guerre suspend certains scrupules, et si un
parti
au pouvoir se décide à « mettre de l’ordre » à sa manière dans tel ou
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manière dans tel ou tel pays, il sera facile à ce
parti
d’étatiser, au nom des lois qui existent, la radio et l’information,
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nts et les échanges économiques, voire le jeu des
partis
politiques… On va me dire que les temps sont difficiles, qu’il faut c
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ntendent l’organiser au service de l’État ou d’un
parti
. Et ceux qui demandent qu’on organise d’en haut — si l’État est en ha
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guerre en 1914.) Pour nous, qui ne sommes d’aucun
parti
nationaliste, s’il fallait prendre position dans le débat, nous dirio
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ielle est la rançon de notre indépendance de tous
partis
, intérêts nationaux, groupements d’États ou même super-États. Nous en
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on du stalinisme. En conséquence, je m’inscris au
Parti
communiste. Car c’est précisément une discipline de ce genre que je c
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une mesure évanouie. Et ce n’est pas non plus aux
partis
politiques démo-chrétiens ou socialistes : ce serait exiger d’eux qu’
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entent le plus souvent de servir la tactique d’un
parti
, dont la doctrine, faite sans leur aide d’ailleurs, ne compte plus gu
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s politiciens, les économistes, les militants des
partis
, et l’homme des masses ne les lisent pas et ne les comprendraient guè
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truction. — Il ne devrait pas être l’apanage d’un
parti
, d’une nation, d’une tendance intellectuelle, cherchant l’hégémonie,
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un même mouvement général des hommes de tous les
partis
(sauf les staliniens), de tous les pays, de toutes les confessions et
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comparables ; le vote majoritaire, le système des
partis
, les codes écrits ; les poids et mesures ; l’architecture rurale, urb
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que la diversité des traditions des langues, des
partis
, des nations et même des religions, est une condition fondamentale de
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es « passéistes » en art, et celui des adeptes de
partis
qui se proclament progressistes ? Cette part du grand public, chez no
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nt aux modèles collectifs, imposés par décrets du
parti
au pouvoir. Éduquer un enfant, au sens européen, ce n’est pas seuleme
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position de l’Odyssée au xxe siècle, et Picasso,
parti
de Toulouse-Lautrec, tantôt remonte au dessin des vases grecs, tantôt
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que figure le marxisme-léninisme (ou au moins, le
Parti
qui l’interprète). L’Europe seule se voit obligée de rechercher sans
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indignations d’un Marx, ni l’action politique des
partis
socialistes, et encore moins la révolution des communistes qui ont cr
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cussion, au nom de la nation, de la race, ou d’un
parti
, a signé du même coup son arrêt de mort. C’est une culture fermée, do
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la doctrine marxiste imposée sans discussion, le
parti
unique sans opposition, l’impérialisme sans mauvaise conscience… Les
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tion s’inscrit dans les programmes de deux de ses
partis
politiques au moins. Partout se pose le problème de la dimension, qui
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st remis une fois pour toutes à la politique d’un
Parti
, quand il s’agit de prendre une position publique. L’engagement suppo