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implorent cette faveur. Seule, Pitié prend notre
parti
, car Dieu dit, et c’est de ma Dame qu’il entend parler : — Mes bien-a
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la, jusqu’alors, à rien ne m’a servi… Prends ton
parti
avec prudence ! Prends ! Et arrache de ton cœur toute racine De ce pl
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sire pas comme une transfiguration : il a pris le
parti
du jour, la mort n’est plus que le châtiment de ses trop longues comp
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ais d’une union, et rendront seuls « aimable » un
parti
soigneusement raisonné. Triomphe de la morale jésuite. C’est le baroq
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ur la nation personnifiée. C’est la nation (ou le
Parti
) qui a des passions. C’est elle (ou lui) qui assume désormais la dial
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es enfants, puis les élever jusqu’au moment où le
Parti
s’en chargera (c’est-à-dire pendant quatre ou cinq ans). Puis on en v
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s supposent un parti pris, ou mieux, une prise de
parti
, au sens actif de l’expression, une attitude fondamentale de créateur
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t. Une dernière fois pourtant nous reprendrons un
parti
de sobriété. Les mariés ne sont pas des saints, et le péché n’est pas
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ou du moins ne dites pas que votre église, votre
parti
, ou votre secte, ne les a pas brûlés du tout. Troisième variante du m
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que ce soit celle de la Science, de l’Église, du
Parti
, ou de simples coutumes que l’on baptise Tradition : elle m’est offer
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ication, comme on fait triompher la doctrine d’un
parti
à la simple majorité. Mais seul pourra séduire la vérité celui qui au