1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 is de plus, le prophète n’a pas été suivi par les partis qui se réclament de lui au xxe siècle. Je vois des responsables comm
2 ités » les plus sottes, présentées par l’État, le Parti , ou l’Argent comme les « impératifs du Progrès ». Or, sachez-le, et c
3 leur répondra ce qu’ils voudront. Il n’y a qu’un parti au pouvoir, celui qui fait parler l’ordinateur. Mais, à l’intérieur d
4 it parler l’ordinateur. Mais, à l’intérieur de ce parti , c’est un chaos, que reflète fidèlement l’incohérence de cette civili
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
5 , toute médiation paraît exclue. Ou bien les deux partis font erreur sur les faits — alors qu’ils en débattent et fondent leur
6 commun programme de recherches. Ou bien l’un des partis poursuit un dessein politique tellement puissant sur sa psyché, que s
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
7 c’est-à-dire l’administration à Washington et le Parti en URSS, ne peuvent courir le risque de perdre la face, en cédant pou
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
8 les éléments religieux de leur propre fidélité au Parti , même lorsqu’ils le jugent scélérat (voir là-dessus L’Aveu d’Artur Lo
9 ut humain. Il n’y a en fait que la puissance d’un parti sur sa propre nation, systématiquement amputée de tout ce qui pourrai
10 — le personnel — tel fut le péché constitutif du parti national-socialiste. L’Occident n’a pas eu de pire ennemi, et il est
11 llemands avaient glissé très vite dans le nouveau parti , dont la grande industrie ne tarda pas à prendre les commandes112.) D
12 rtus de l’État-nation. Gangsters, groupuscules ou partis , au nom des principes mêmes de la raison d’État défendent leurs intér
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
13 vous croyez : un tiercé dont les favoris sont les partis et idéologies. Mais vous serez coupable de l’avenir désastreux si vou
14 les manipulations par la publicité, la mode, les partis politiques et l’État. Personne non plus n’a jamais dénombré, mesuré,
15 « les masses » sont la tendance régnante dans le Parti qui s’est arrogé le pouvoir — une négation brutale de la démocratie.
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
16 l’État d’un seul mythe collectif — Classe, Race, Parti ou Dictateur — contre les hommes différents, les hommes réels. L’État
17 âche (aux données quelque peu contradictoires) un Parti national unique et comme il se doit, socialiste. Enfin, il confie à l
18 le roi, le président ou le Premier Secrétaire du Parti peut sécuriser ceux qui disent « Moi je ne fais pas de politique ! »,
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
19 es décrets d’une science, ni dans le programme du parti qui vient de renverser nos trop faibles « tyrans » pour nous apprendr
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
20 rave, c’est que les autres, quels que soient leur parti , leur talent, leur volonté bonne ou mauvaise, feraient pareil ou pire
21 les pollutions de toute nature — et cela dans les partis de toute couleur, socialistes, libéraux ou centristes. C’est qu’à l’é
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
22 triels, les gros commanditaires, et dans tous les partis les démagogues qui enflent la voix pour dénoncer « ces fauteurs de cr
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
23 ouvre un jour que l’autogestion ne dépend pas des partis politiques, et n’est pas plus de gauche que de droite ou du centre, m
24 riétaires d’entreprises par des fonctionnaires du Parti paraît être le résultat le plus concret d’une révolution communiste ;
25 u socialiser la dictature : c’est ce que font les partis communistes mis au pouvoir dans l’Est européen par l’armée russe. Les
26 pie civique et morale au nom de la puissance d’un parti , point d’autre alternative que les régions, la liberté par le respect
27 on la volonté de puissance d’un chef d’État, d’un parti au pouvoir. Or, le but principal d’une région, contrairement à celui
28 ul Valéry, Regards sur le monde actuel (chap. Des Partis ), Paris, 1945. 169. Alexis de Tocqueville, L’Ancien Régime et la Rév
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
29 épercutés par ses ministres et les députés de son parti  — que « l’Europe va de Gibraltar à l’Oural ». Et sa politique étrangè
30 iplinés et réalistes : vous voulez ce que veut le Parti , et qu’il appelle dictature du Prolétariat. C’est vouloir quelque cho
31 problèmes ? » Oui, si la politique est le jeu des partis et des États-nations étiquetés de gauche ou de droite, capitalistes,
32 eux plus ou moins passionnants de la rivalité des partis à l’intérieur des États-nations et du prestige moral et militaire que
33 s dans la sinistre dictature des secrétaires d’un parti ou d’un groupe d’officiers. Double erreur à tel point explicable, exc
34 rd’hui la gauche autant que la droite et tous les partis en tant que tels, et tous les gouvernants de Moscou à New York et de
35 e à leur dénominateur commun : la bureaucratie du Parti régnant. Lénine se définit comme « un jacobin lié à l’organisation d
36 un pouvoir stato-national supercentralisé par le Parti , écrasant sans pitié toutes les autonomies et les conseils locaux et
37 D’ailleurs, la bonne ou mauvaise foi des gens de parti ne change rien à leur action concrète. Je ne renvoie pas dos à dos ce
38 t M. Michel Debré. Quant au secrétaire général du parti gaulliste il traite « d’imbéciles ignorants de l’histoire », au surpl
39 harge en tant que représentant d’une nation, d’un parti , de la gauche ou de la droite, ou même de la Jeunesse. Les hommes d’É
40 avertis par le club de Rome ? Et qu’ont fait les partis politiques ? Ils sont encore « nationaux » avant tout ; donc pas plus
41 vous n’avez avec vous ni les gouvernements ni les partis , ni la grande industrie ni le prolétariat, ni les masses ni même les
42 onde a désormais à faire sous le ciel ? Dans les partis , tout peut changer. Certains, disait Emmanuel Berl, « peuvent en avoi
43 écologiques » ont battu les chevaux de retour des partis grâce aux quelques centaines de voix qui font toute la différence. Dé