1
is de plus, le prophète n’a pas été suivi par les
partis
qui se réclament de lui au xxe siècle. Je vois des responsables comm
2
ités » les plus sottes, présentées par l’État, le
Parti
, ou l’Argent comme les « impératifs du Progrès ». Or, sachez-le, et c
3
leur répondra ce qu’ils voudront. Il n’y a qu’un
parti
au pouvoir, celui qui fait parler l’ordinateur. Mais, à l’intérieur d
4
it parler l’ordinateur. Mais, à l’intérieur de ce
parti
, c’est un chaos, que reflète fidèlement l’incohérence de cette civili
5
, toute médiation paraît exclue. Ou bien les deux
partis
font erreur sur les faits — alors qu’ils en débattent et fondent leur
6
commun programme de recherches. Ou bien l’un des
partis
poursuit un dessein politique tellement puissant sur sa psyché, que s
7
c’est-à-dire l’administration à Washington et le
Parti
en URSS, ne peuvent courir le risque de perdre la face, en cédant pou
8
les éléments religieux de leur propre fidélité au
Parti
, même lorsqu’ils le jugent scélérat (voir là-dessus L’Aveu d’Artur Lo
9
ut humain. Il n’y a en fait que la puissance d’un
parti
sur sa propre nation, systématiquement amputée de tout ce qui pourrai
10
— le personnel — tel fut le péché constitutif du
parti
national-socialiste. L’Occident n’a pas eu de pire ennemi, et il est
11
llemands avaient glissé très vite dans le nouveau
parti
, dont la grande industrie ne tarda pas à prendre les commandes112.) D
12
rtus de l’État-nation. Gangsters, groupuscules ou
partis
, au nom des principes mêmes de la raison d’État défendent leurs intér
13
vous croyez : un tiercé dont les favoris sont les
partis
et idéologies. Mais vous serez coupable de l’avenir désastreux si vou
14
les manipulations par la publicité, la mode, les
partis
politiques et l’État. Personne non plus n’a jamais dénombré, mesuré,
15
« les masses » sont la tendance régnante dans le
Parti
qui s’est arrogé le pouvoir — une négation brutale de la démocratie.
16
l’État d’un seul mythe collectif — Classe, Race,
Parti
ou Dictateur — contre les hommes différents, les hommes réels. L’État
17
âche (aux données quelque peu contradictoires) un
Parti
national unique et comme il se doit, socialiste. Enfin, il confie à l
18
le roi, le président ou le Premier Secrétaire du
Parti
peut sécuriser ceux qui disent « Moi je ne fais pas de politique ! »,
19
es décrets d’une science, ni dans le programme du
parti
qui vient de renverser nos trop faibles « tyrans » pour nous apprendr
20
rave, c’est que les autres, quels que soient leur
parti
, leur talent, leur volonté bonne ou mauvaise, feraient pareil ou pire
21
les pollutions de toute nature — et cela dans les
partis
de toute couleur, socialistes, libéraux ou centristes. C’est qu’à l’é
22
triels, les gros commanditaires, et dans tous les
partis
les démagogues qui enflent la voix pour dénoncer « ces fauteurs de cr
23
ouvre un jour que l’autogestion ne dépend pas des
partis
politiques, et n’est pas plus de gauche que de droite ou du centre, m
24
riétaires d’entreprises par des fonctionnaires du
Parti
paraît être le résultat le plus concret d’une révolution communiste ;
25
u socialiser la dictature : c’est ce que font les
partis
communistes mis au pouvoir dans l’Est européen par l’armée russe. Les
26
pie civique et morale au nom de la puissance d’un
parti
, point d’autre alternative que les régions, la liberté par le respect
27
on la volonté de puissance d’un chef d’État, d’un
parti
au pouvoir. Or, le but principal d’une région, contrairement à celui
28
ul Valéry, Regards sur le monde actuel (chap. Des
Partis
), Paris, 1945. 169. Alexis de Tocqueville, L’Ancien Régime et la Rév
29
épercutés par ses ministres et les députés de son
parti
— que « l’Europe va de Gibraltar à l’Oural ». Et sa politique étrangè
30
iplinés et réalistes : vous voulez ce que veut le
Parti
, et qu’il appelle dictature du Prolétariat. C’est vouloir quelque cho
31
problèmes ? » Oui, si la politique est le jeu des
partis
et des États-nations étiquetés de gauche ou de droite, capitalistes,
32
eux plus ou moins passionnants de la rivalité des
partis
à l’intérieur des États-nations et du prestige moral et militaire que
33
s dans la sinistre dictature des secrétaires d’un
parti
ou d’un groupe d’officiers. Double erreur à tel point explicable, exc
34
rd’hui la gauche autant que la droite et tous les
partis
en tant que tels, et tous les gouvernants de Moscou à New York et de
35
e à leur dénominateur commun : la bureaucratie du
Parti
régnant. Lénine se définit comme « un jacobin lié à l’organisation d
36
un pouvoir stato-national supercentralisé par le
Parti
, écrasant sans pitié toutes les autonomies et les conseils locaux et
37
D’ailleurs, la bonne ou mauvaise foi des gens de
parti
ne change rien à leur action concrète. Je ne renvoie pas dos à dos ce
38
t M. Michel Debré. Quant au secrétaire général du
parti
gaulliste il traite « d’imbéciles ignorants de l’histoire », au surpl
39
harge en tant que représentant d’une nation, d’un
parti
, de la gauche ou de la droite, ou même de la Jeunesse. Les hommes d’É
40
avertis par le club de Rome ? Et qu’ont fait les
partis
politiques ? Ils sont encore « nationaux » avant tout ; donc pas plus
41
vous n’avez avec vous ni les gouvernements ni les
partis
, ni la grande industrie ni le prolétariat, ni les masses ni même les
42
onde a désormais à faire sous le ciel ? Dans les
partis
, tout peut changer. Certains, disait Emmanuel Berl, « peuvent en avoi
43
écologiques » ont battu les chevaux de retour des
partis
grâce aux quelques centaines de voix qui font toute la différence. Dé