1
eurs a dominé jusqu’à nos jours. Elle explique en
partie
la résistance des syndicats aux techniques créatrices de loisirs (aut
2
elligentsia berlinoise, puis new-yorkaise, et une
partie
de la parisienne, au xxe siècle, se crurent et furent dans une large
3
de coutumes anciennes ou de limitations posées en
partie
par des excès contraires. Si l’Europe d’aujourd’hui s’effraye de cons
4
frique, des deux Amériques et de l’Océanie, et la
partie
sud de l’Asie (à des degrés divers, mais pour le moins égaux à ceux q
5
vie nouvelle de sa personne. Cette vie demeure en
partie
mystérieuse, étant « cachée avec le Christ en Dieu », mais elle se ma
6
n que nous sommes en train de vivre renouvelle en
partie
celle du xiie siècle, submerge quelques-unes de ses conquêtes, mais
7
pour l’humanité tout entière. L’Europe est cette
partie
-là du monde qui a fait « le Monde », ayant été le foyer de l’idée de
8
ntal de l’Asie », mais n’en serait pas moins « la
partie
précieuse de l’univers terrestre, la perle de la sphère, le cerveau d
9
ssage : En sortant des mains de la nature, notre
partie
du monde n’avait reçu aucun titre à cette glorieuse prééminence qui l
10
uoi l’Europe a-t-elle été la seule ou la première
partie
du monde qui ait adopté cette religion, venue d’ailleurs, du Proche-O
11
ont été récoltées en route, elles font désormais
partie
non seulement de la science, mais de la conscience du genre humain, a
12
avait commencé par mettre en relation toutes les
parties
de la terre qui, avant elle, vivaient dans l’ignorance la plus complè
13
hées aux traditions, et cette critique demeure en
partie
justifiée. Mais, en Amérique, on redécouvre les vertus de la culture
14
vente des auteurs qui en parlent. Il est donc en
partie
mesurable. En revanche, la décadence de l’amour est une hypothèse abs