1 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
1 France dite libre. Si l’on traverse en autocar la partie non encore occupée du pays, on n’aperçoit que des traces infimes d’un
2 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
2 nistre belge qui reçoit mes balles dans sa barbe, parties d’échecs avec le baryton viennois de l’Opéra de New York, bains de so
3 llars. Le soir, elle m’invite à sa table pour une partie de bingo, jeu de hasard. Sur les trois tours, elle en a gagné deux, e
3 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
4 me tiens au carrefour Médicis et je regarde cette partie du boulevard Saint-Michel qui monte vers l’Observatoire. Elle est dés
5 jets. Et comme le monde est une vitrine, en bonne partie , il doit être possible de déterminer le degré de fortune ou d’infortu
6 n marché, je monterai chez « Saint-Ex » faire une partie d’échecs et l’écouter parler des malheurs de sa France… Juin 1942
7 e bois, au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs sur la galerie, après le bain, à toutes les heures du jour e
4 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
8 lement par une petite peuplade dispersée ? Or une partie de la littérature française moderne, la meilleure justement, s’était
5 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
9 s coutumes de maint État du Middle West, et de la partie nord de la Pennsylvanie. Nous traversons maintenant la ville pour all
10 ue — permettant l’examen à l’œil nu. Décrivons sa partie inférieure. La rue huileuse, parsemée de vieilles lettres, de bouts d