1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 civilisation commune se soit étendue à la majeure partie du continent : elle est marquée par le rite généralisé de l’incinérat
2 le av. J.-C., les Celtes ont recouvert la majeure partie de la péninsule occidentale, à l’exclusion toutefois de l’Italie et d
3 e Tyr, car, auparavant, ainsi que les deux autres parties du monde, elle n’avait point de nom. Il est certain qu’Europe était A
4 Thessalie, puis, à travers la Thrace, jusqu’à la partie septentrionale de l’Asie Mineure — vers la Béotie, la Locride, la Pho
5 em, Cham et Japhet, ont reçu en partage les trois parties du monde que sont respectivement l’Asie, l’Afrique et l’Europe. Cett
6 ossuet 18 : Japhet, qui a peuplé la plus grande partie de l’Occident, y est demeuré célèbre sous le nom fameux d’Iapet. Nou
7 stera-t-elle ce qu’elle paraît, c’est-à-dire : la partie précieuse de l’univers terrestre, la perle de la sphère, le cerveau d
8 la mnémotechnie, qui aurait le premier nommé les parties du monde d’après Asie et Europe, les Océanides. Hippias vivait au ve
9 onnes d’Hercule, nous n’en habitons qu’une petite partie , vivant tout autour de la mer, comme des fourmis et des grenouilles a
10 el point à certains peuples qui habitent ces deux parties du monde, qu’ils contrastent entre eux d’une manière étonnante. Comme
11 s lois auxquelles ils sont soumis. La plus grande partie de l’Asie étant gouvernée par des rois, il en résulte que partout où
12 tudes de la vie sociale. Mais dans le reste de la partie habitable, là où le sol de l’Europe est uni et son climat tempéré, la
13 aît clairement que la Grèce n’est qu’une « petite partie  » de l’Europe. Cicéron (Pro Flacco, XXVII), dit de la Grèce : Parvum
14 n la Germanie dont les Suèves occupent une grande partie . Et tout cela ensemble représente cinquante-quatre nations. Sautons
15 ait fait Europe reine : Il n’y a au monde aucune partie qui puisse se dire commune à toutes les nations si ce n’est l’île de
16 habitable de notre hémisphère supérieur en trois parties , qu’ils nommèrent l’Asie, l’Europe et l’Afrique… Et ainsi l’île de Cr
17 Crète paraît être située aux confins de ces trois parties du monde. Les géographes qui ont délimité l’Europe font passer ses fr
18 ’Occident, baigne la Norvège, l’Angleterre et les parties occidentales de l’Espagne jusqu’à l’endroit où commence la mer Médite
19 artout habitée par les hommes, excepté une petite partie où à cause du froid on n’aime pas volontiers à demeurer, du côté de m
20 r que l’Europe ne soit la moins étendue des trois parties qui composent l’Ancien Monde ; mais il faut avouer en même temps que,
21 eri : Quoique l’Europe soit la moindre des trois parties de continent, elle a pourtant des avantages qui la doivent faire préf
22 1816 : En sortant des mains de la nature, notre partie du monde n’avait reçu aucun titre à cette glorieuse prééminence qui l
23 que. Ce n’est donc plus seulement l’une des trois parties de la carte du Monde traditionnelle (l’Europe, la Libye ou Afrique, l
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
24 la papauté se disputant la primauté, et les deux parties n’en appellent (ne sauraient d’ailleurs en appeler) qu’à l’idée de ch
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
25 is, par voie de conséquence, pour la pratique. Or parties et tout obéissent aux mêmes lois ; si l’individu acquiert prudence et
26 ue nous appelons maintenant les Grecs, occupa une partie de l’Europe et une partie de l’Asie. C’est d’un seul et même langage
27 t les Grecs, occupa une partie de l’Europe et une partie de l’Asie. C’est d’un seul et même langage reçu dans le châtiment de
28 armi les prélats et trois autres pour chacune des parties , hommes aisés et de telle condition qu’il soit probable qu’ils ne pui
29 on les plaidoiries sommaires et claires de chaque partie , ils recevraient — en éliminant d’abord tout ce qui serait superflu e
30 ls examineraient consciencieusement… Si l’une des parties n’est pas contente de la sentence, les juges eux-mêmes doivent renvoy
31 nt de peuples qu’elle occupa longtemps une grande partie des païens en même temps que le sépulcre du Seigneur. Il n’y avait pa
32 et rétablir la paix, à un endroit convenable aux parties  ; et là, en présence des parties en conflit ou de leurs ambassadeurs
33 t convenable aux parties ; et là, en présence des parties en conflit ou de leurs ambassadeurs plénipotentiaires, employer tout
34 accord de toute notre Assemblée ou de la majeure partie de celle-ci, on fixera à quel moment il conviendra d’attaquer l’ennem
35 iter : De recuperatione Terra Sancte. La première partie du traité est adressée en forme de circulaire à tous les princes de l
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
36 t d’Europe n’est invoqué par l’une ou l’autre des parties en présence, en faveur de sa thèse 76. Calvin, Luther et Loyola sont
37 es, des Pays-Bas, de Naples et de Milan, et d’une partie de la France actuelle, c’est-à-dire des trois quarts de l’Europe cont
38 rofit et avantage… Et puisqu’un État n’est qu’une partie du monde entier, puisque, encore davantage, une province chrétienne n
39 e davantage, une province chrétienne n’est qu’une partie de toute la République, j’estime que même si une guerre est utile à u
40 e comparer entre elles nos diverses nations comme parties d’un tout implicite. Mais ils montrent aussi combien, à cette époque,
41 érence résulte de ce que, dans ces deux dernières parties du monde, il n’y eut qu’une ou deux grandes monarchies et peu de répu
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
42 i servirait-il, si le Turc possédait la meilleure partie de l’Europe ? Vives rejoint ici l’opinion d’un autre champion de la
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
43 rels, et ont divisé presque tout le monde en deux parties , à cause de la diversité de leur religion, tellement que s’ils se pou
44 n de le faire venir à la raison. Dès la première partie de son traité, Crucé s’était demandé ce que feraient les peuples, s’i
45 ur le regard des Mahometans, qui font une notable partie du monde, le roy de France pour le credit et reputation qu’il a parmy
46 possédons plusieurs versions : les deux premières parties datées de 1638 et qui ne furent pas « mises dans le commerce » ; la t
47 ent pas « mises dans le commerce » ; la troisième partie , publiée en 1662 avec les deux autres ; un élégant digeste des trois,
48 État à se soumettre et à payer les dommages à la partie lésée ainsi qu’aux souverainetés ayant dû intervenir…, alors certaine
49 parmi les nations de l’Europe, quoique certaines parties de ma proposition aient été envisagées par la sagesse, la justice et
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
50 it, l’empereur doit être investi, dans une grande partie de l’Europe, d’un pouvoir, ainsi que d’une sorte de souveraineté supr
51 par leur courage, se sont soumis ceux des autres parties du Monde. Leur esprit paraît dans leurs ouvrages, leur sagesse dans l
52 Europe surpasse aussi en toutes choses les autres parties du monde, soit pour les édifices saints et profanes, soit pour les gé
53 furent les anciens Sères qui formaient la majeure partie de la population de son empire et dont le pays a été rattaché à la Ch
54 le finira par s’établir dans ces pays. Dans cette partie du monde où l’on cultive beaucoup les sciences, il y a un plus grand
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
55 lettres ne soyent qu’un amusement d’une certaine partie des citoyens ; il faut les regarder sois une autre face. On a remarqu
56 la même raison que l’Europe domine sur les autres parties du Monde et est dans la prospérité, tandis que tout le reste gémit da
57 plus éclairée, à proportion, que dans les autres parties , elles sont ensevelies dans une épaisse nuit. Que si nous voulons jet
58 urope la matière de son commerce avec cette vaste partie de l’Asie qu’on appelle les Indes orientales. L’argent, ce métal si u
59 ait le commerce et la navigation des trois autres parties du monde, comme la France, l’Angleterre et la Hollande font à peu prè
60 e qui a formé un génie de liberté qui rend chaque partie très-difficile à être subjuguée et soumise à une force étrangère, aut
61 Grèce, qui obéit au Grand Turc, et la malheureuse partie de l’Italie qui obéit au pape. A. — Je les excepte aussi ; mais songe
62  : L’Europe surpasse en toutes choses les autres parties du monde… (on peut) regarder l’Europe chrétienne (à la Russie près) c
63 public et de politique, inconnus dans les autres parties du monde. C’est par ces principes que les nations européennes ne font
64 lus également fertile, mieux réunie en toutes ses parties  ; le mélange continuel des intérêts que les liens du sang et les affa
65 rvice. Ce serait sans doute un grand mal pour les parties démembrées ; mais ce serait un grand bien pour le corps de la nation…
66 r là le seul qui puisse vous convenir. En cette partie centrale de son mémoire, Rousseau rappelle expressément les moyens qu
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
67 caractère de leur gouvernement civil, une grande partie de leur histoire paroîtroit mystérieuse et inexpliquable. Les auteurs
68 dement établi sur la parfaite union de toutes ses parties . Les peuples, devenus des sujets, renoncèrent à l’espoir et même au d
69 oins avancé. Dans la plus grande et la plus belle partie de l’Europe, les forces les plus nobles de l’Humanité étouffent encor
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
70 politiquement, comme géographiquement, en quatre parties dont chacune a des intérêts distincts. L’Europe, pour le malheur des
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
71 es intérêts ou la survie militaire d’une nation ! Partie pour instaurer la fraternité mondiale et « la société du genre humain
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
72 des arbitres sauvera l’honneur et le crédit de la partie plaignante. Peut-on vraiment traiter de visionnaire un tel arrangemen
73 vé à son sujet que : 1. Il est dans l’intérêt des parties intéressées ; 2. Les parties sont déjà sensibles à cet intérêt ; 3. L
74 t dans l’intérêt des parties intéressées ; 2. Les parties sont déjà sensibles à cet intérêt ; 3. La situation dans laquelle il
75 t ; 3. La situation dans laquelle il mettrait ces parties n’est pas nouvelle, et n’est autre que celle dont elles partent. Des
76 e cette manière, la masse des peuples, qui est la partie la plus exposée à se laisser égarer par des préventions, ne serait pa
77 ntestines qui ruinent l’Europe, cette « vingtième partie des terres fermes de la planète » qui n’a dû qu’à sa culture de domin
78 s de plus en plus sceptique que Gentz consacre la partie essentielle de son essai : Le troisième moyen d’assurer ou de prépar
79 moindres détails, mais qui ne comprendrait qu’une partie des États du monde, n’offrirait en aucune façon une garantie de paix
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
80 homme n’ait un champ d’action que dans une petite partie du monde et que des foules innombrables de peuples n’entrent absolume
81 pondre : Soyons donc contents de vivre sur cette partie du globe, même si l’Europe doit connaître encore plus de remous. Joh
82 entaux s’est maintenu jusqu’à aujourd’hui. Chaque partie de ce grand Tout et chaque individu, cultivait, fabriquait, acquérait
83 iquait, acquérait par le commerce dans les autres parties du monde, ce qu’il pouvait, de la façon la plus pratique, suivant sa
84 aturelle, et le portait au marché dans toutes les parties de ce même Tout, sans empêchement, et les prix des objets s’établissa
85 de commerce qui s’y sont ajoutées dans les autres parties du monde, forme encore un tout, alors assurément le commerce de toute
86 tout, alors assurément le commerce de toutes les parties entre elles doit rester libre, comme il l’était à l’origine. Si elle
87 Nous voici parvenus à la source de la plus grande partie des abus qui existent encore. Dans l’Europe nouvelle, il n’y a pas eu
88 jointes ensemble, l’intérêt protestant dans cette partie de l’Europe ; un jour la neutralité armée se joindra ici… Parmi les
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
89 le sous la forme du cœur, tandis que mainte autre partie de l’Europe n’est que la tête ou le bras avec le poing. Ce bon cœur s
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
90 is tant d’années, ont désolé le monde, les Hautes Parties contractantes sont convenues entre elles d’en étendre la durée de vin
91 ur affection ne peut se reposer sur aucune de ses parties . La variété, c’est de l’organisation : l’uniformité, c’est du mécanis
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Goethe
92 isté, et sa ruine a été due au fait qu’une de ses parties a voulu devenir ce qu’était le tout, à savoir la France, qui voulut d
93 du peuple, … qui a également imprégné toutes les parties de l’empire. »178 Mais Goethe craint qu’une centralisation politiqu
94 II, 362. 183. Wilhelm Meisters Wanderjahre, Ire partie , chap. 7.
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
95 rieures, fut déchiré pour toujours par une grande partie des Européens. Ce grand schisme intérieur, qu’accompagnèrent des guer
96 omme elle le fut plus tard, comme elle l’était en partie chez les Grecs d’alors ; puis elle répondait suffisamment aux forces
97 ’avant-garde de l’humanité, comprenant la majeure partie de la race blanche ou des nations européennes, en nous bornant même,
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
98 e « idée européenne » : L’Europe est la première partie du monde parce que placée, mieux que tout autre, à l’intersection dia
99 « l’intime harmonie » qui devait unir toutes les parties constituantes de l’Europe, et tous les patriotismes, si « unique » qu
19 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
100 me démissionne. Marx triomphe malgré lui dans ces parties du monde qu’il jugeait précisément — comme Hegel, son maître — en ret
101 u plus haut degré un caractère international… Les parties dont elle est composée sont liées indissolublement aux autres grandes
20 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
102 e, l’Italie et la Suisse en font indiscutablement partie . Mais le cas de la Russie est différent. Elle peut choisir d’être d’E
103 nviction absolue que l’Europe de l’Ouest était la partie du monde la plus « douée » (begabt), la plus avancée, la plus civilis
104 raient responsables. Dostoïevski ne ferait-il pas partie du trésor culturel de l’Europe ? Voyons ce que lui-même en a dit. Fio
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
105 ue, l’Alsace était un pays celtique, ainsi qu’une partie de l’Allemagne du Sud. Nous ne concluons pas de là que l’Allemagne du
106 a été faite par l’assentiment de ses différentes parties , compte trois ou quatre langues. Il y a dans l’homme quelque chose de
107 le que nous atteignions. Isolées, elles ont leurs parties faibles. Je me dis souvent qu’un individu qui aurait les défauts tenu
108 e consiste à se fondre en un seul ensemble où les parties se féconderont réciproquement !260 Mais les conditions d’une restau
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
109 analysé, résolu, même le danger. Dans toutes les parties de la monarchie, vos compatriotes ont été gagnés par le nationalisme 
110 un avec le Reich de Bismarck, modelé en si grande partie sur le prototype français du xviie siècle. Le dernier fédéraliste gl
111 l’Espagne, c’est-à-dire notre digestion de cette partie de l’esprit européen qui peut devenir notre esprit, ne commencera que
112 civilisation. Et aussi le développement, dans des parties de plus en plus considérables de la jeunesse française, de conception
23 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
113 papauté produisent le même effet sur les diverses parties de la chrétienté. Toutes se signent dans ce cri de l’une d’elles : « 
114 de 1914, nous exposent l’histoire des différentes parties de l’Europe, de leurs développements respectifs, surtout de leurs opp
24 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
115 les autres et presque simultanément — pour cette partie finale de notre ouvrage. Le choix des textes sera fonction d’un plan
116 r s’appliquer. Il doit donc développer toutes les parties de son être et les maintenir dans une harmonie aussi claire, et même
117 n d’interroger Dieu contre Dieu. Cette impulsion, partie du livre de Job, traverse toute la pensée européenne. C’est cette acc
118 dans nombre de nobles intelligences de toutes les parties du monde, qui dispersées et isolées, réduites à une sorte d’aristocra
119 déal. Dès maintenant l’on assiste dans toutes les parties de l’Europe à la germination d’une nouvelle conscience, d’une nouvell
120 cidentaux se sont taillé la part du lion dans les parties du globe qui restaient encore disponibles : en Amérique, en Australie
121 ment incapables de riposter à nos adversaires. En partie parce que nous sommes coupables d’avoir recouru dans le passé à des m
122 ru dans le passé à des méthodes brutales, mais en partie aussi parce que nous avons réellement atteint un niveau de civilisati
123 de le répéter : notre vieille Europe est la seule partie du monde où nul fossé ne sépare aujourd’hui d’hier. Cette vérité écla
124 nt de mouvements avant lui, gagnera-t-il d’autres parties du monde, Russie comprise. Pour ce qui est de l’Amérique, l’évolution
25 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
125 e Société des Nations, au sein de laquelle aucune partie du monde n’aurait plus à craindre l’ingérence des autres dans ses aff
126 d’orienter un destin désormais partagé ». Les six parties contractantes : Considérant que la paix mondiale ne peut être sauve
127 e 1er précise : Par le présent traité les Hautes parties contractantes instituent entre elles une Communauté européenne du cha