1 e » —, il répugnait parfois à sacrifier une large partie de son temps à l’interminable combat européen. Mais il savait, même l

2 aquelle on n’a su opposer, dans toute la première partie du xxe siècle, que ce qu’on a appelé les grands ensembles, ces grand

3 jours dans les cafés ; en tout cas, dans toute la partie méridionale de l’Europe, c’est dans les cafés que toutes les oppositi

4 s et nombreuses, la source grecque en formant une partie , confluant avec la source romaine, la source juive ou hébraïque, la s

5 , et cela peut même définir l’esprit européen, en partie . Il y a les traditions judéo-chrétiennes naturellement, qui sont comm

6 s régions catalanes, tout le Languedoc, certaines parties du comté de Nice et toute la Corse. Il faudrait changer entièrement l

7 , et par le fait de mouvements d’opposition de la partie au tout. Ainsi, on trouve, dans le second caractère des empires, celu

8 et plus tard de l’Angleterre et de l’Espagne, la partie veut se faire aussi grande que le tout. 1er novembre 1968 Les premièr

9 ion, qui était une mystique qu’elle est restée en partie , deviendra beaucoup plus autoritaire : que son noyau, l’État, va pren

10 u’on a appelé l’anabaptisme après la Réforme ; en partie aussi, l’anarcho-syndicalisme d’école espagnole ; enfin, le fédéralis

11 ource celte (d’où viennent les romans, une grande partie de la littérature européenne, les idées de chevalerie, les doctrines

12 tien) et l’apport slave, surtout dans la deuxième partie du xixe siècle et au xxe siècle (dans le monde des arts : musique,

13 est peut-être mythique (il l’est certainement en partie ), et c’est un avenir qui est peut-être utopique. Tous les deux sont a

14 n l’imagine très bien acceptant d’en déléguer une partie , à condition que l’organe auquel il la déléguerait lui garantisse sa

15 fédéral européen. Ils y perdraient, en fait, une partie de leur souveraineté, mais tout le reste leur serait garanti, alors q

16 », c’était le rassemblement nouveau de toutes les parties de la France. D’où les grandes fêtes qui se sont appelées « Fêtes de

17 les Fêtes de la Fédération. Mais dans la deuxième partie , ce sont les jacobins unitaires qui triomphent. Les girondins sont dé

18 x maxima contradictoires que sont l’autonomie des parties et l’unité de l’ensemble. Voilà ce qui est fondamental pour toute féd

19 au contraire d’assurer l’autonomie de chacune des parties qui entrent en fédération, en ne donnant pour ce faire au pouvoir féd

20 était, par exemple, obligé de dire que certaines parties de la France actuelle n’avaient pas toujours été françaises ; mais on

21 966 La personne, dans l’individu humain, c’est la partie de nous-mêmes qui peut dire « je », qui prend conscience. 23 janvier

22 rs fédérés et le pouvoir fédéral, l’autonomie des parties et la cohérence du tout. Comme la personne, le fédéralisme est confro

23 qui contribuent au succès d’un prince. Dans cette partie de l’Europe, une sorte d’empirisme dominera avec insistance. Tandis q

24 tion à l’homogène Statisme Rationalisme Unité des parties égalisées Contemporains : — de la fondation de la polis Héracl

25 rand au xxe siècle, et notamment dans la seconde partie du xxe siècle, qu’il l’a jamais été dans l’histoire auparavant. Pren

26 es supposent l’existence de différences entre les parties et sont conclues pour les garantir. Le plus grand obstacle peut-être,