1 L’Acte comme point de départ (1936-1937)a Nous partons de l’impression qu’il existe, entre certains systèmes qu’on a coutume

2 tout. 2° Si on ne part pas tout de suite, on ne partira jamais. Le jeu des mots traduit ici le jeu des faits. Impossible de p

3 ra nécessairement des mots tels que « départ », «  partir  » et « tout de suite ». Tout discours sur l’acte manifestera ce troub

4 éliminer ou à la disqualifier. À moins qu’il n’en parte , comme de la réalité centrale, impensable et qui permet de penser. No

5 agination. Et pourtant il suffit de bien peu pour partir  : la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que

6 ire. Sa cordialité demeure digne, trait notable à partir des Cévennes. Mais bavarde ! De gré ou de force, c’est certain, nous

7 ons et les dessus de cheminée. Après-demain, nous partons . Nous fuyons. 27. Monsieur X… « orateur distingué », disait la conv

8 obus pour arrêter le courrier. L’autobus vient de partir . Il faut téléphoner au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac pos

9 le capitalisme à des attitudes religieuses, d’où serait partie l’impulsion, attitudes analogues en ceci tout au moins qu’elles mette

10 de peu de portée). Au lendemain de sa rupture, il partit pour Berlin où il désirait suivre les cours de Schelling. Il y demeur