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te, séduits par la clarté axiomatique, prétendent
partir
de vérités élémentaires qui ne sont autres que des abstractions opéré
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e déduction claire consiste en ce qu’elle prétend
partir
d’un nombre limité de faits acquis, quand le tout, quand la fin nous
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t ! Comme s’il était licite, et même possible, de
partir
de certains éléments et de les déclarer connus, quand on ignore métho
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’ai souci que d’une certaine orientation. C’est à
partir
du terme, encore une fois, que les contradictions s’éclairent et se r
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ictions s’éclairent et se résolvent, et non pas à
partir
d’éléments que j’aurais distingués dès le départ. Une parabole se com
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toute l’Apocalypse, comme Cuvier la préhistoire à
partir
d’une vertèbre isolée. Mais l’oubli vient avec le premier doute… Peti
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voir, ce droit ? Avons-nous fait enquête avant de
partir
? Sommes-nous en possession des pièces du procès ? Quand cela serait,
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emblables. À cet instant naît le roman moderne. À
partir
du xviiie siècle, le roman se sépare volontairement du conte. Aussit
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1946)u On me dit que Mauriac a écrit : Faut-il
partir
? (pensant aux jeunes Français, répondant non). Que Bernanos s’est éc
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, répondant non). Que Bernanos s’est écrié : Mais
partez
donc ! la Terre est vaste ! Que d’autres ont protesté que ce débat ét
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stion dans les termes où elle est posée : faut-il
partir
? (Peut-on partir serait une tout autre affaire.) Il se trouve que j’
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mes où elle est posée : faut-il partir ? (Peut-on
partir
serait une tout autre affaire.) Il se trouve que j’habite, pour quelq
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péens devraient aller s’il s’agissait pour eux de
partir
. Je vois les avantages de l’Amérique et ses défauts, mieux qu’ils ne
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que le problème est mal posé. Il ne s’agit ni de
partir
ni de rester, au sens pathétique de ces mots. Il s’agit simplement de
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er. Ce n’est pas très facile, pratiquement ? Mais
partir
, ou rester, ne le sont pas non plus, apparemment, puisqu’on pose le p
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nait pas sur le monde d’après-guerre, le problème
partir
ou rester se résoudrait en termes simples : on verrait vite que c’est
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ns de continent comme on part en week-end. Le mot
partir
a donc changé de sens. Il a perdu son aura dramatique. Plus question
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vocable. Se déplacer devient un geste naturel, et
partir
peut très bien signifier revenir après quelque temps, comme on prend