1 de Tyr. Celui-ci donna l’ordre à ses cinq fils de partir à la quête de leur sœur enlevée. Chacun fit voile dans une direction

2 par les Arabes au sud-ouest. Christophe Colomb n’ est pas parti pour trouver l’Amérique, car il n’y croyait pas et ne pouvait donc la

3 ’y croyait pas et ne pouvait donc la chercher. Il est parti pour trouver l’Inde fabuleuse, aux cités pavées d’or, disait-on, et p

4 iècle, enfin la colonisation de l’Afrique noire à partir des années 1880 à 1900. Au début de notre xxe siècle, on peut dire q

5 on universelle. Abraham, « le père des croyants » était parti sans savoir où il allait, parce que son Dieu, sa vérité la plus intim

6 tre chose que Colomb et qu’Ulysse avant lui : ils partent vers des buts proches ou lointains qu’ils rêvaient avec précision, il

7 es, de l’autre école ou de l’autre parti — mais à partir des réalités visibles et tangibles, qui sont le cadre de nos vies. Eu

8 de l’Occident. Bien plus, ces administrateurs ne sont partis qu’en vertu d’idéaux européens adoptés par l’élite indigène. Ces idéa

9 vices, tels qu’ils se sont manifestés, du moins à partir des débuts de l’ère industrielle. Il serait trop facile de répondre à

10 un des manifestes surréalistes. Freud, lui aussi, était parti du rêve pour étudier les ruses de la libido. Et Jung élargissait au m