1 ui. Toute propagande européenne digne du nom doit partir de ces évidences. 4. Mais on va me dire : le mot culture n’a pas beau

2 tique, que ce poète, ministre, et grand éducateur est parti en claquant la porte, non sans avoir déclaré vertement qu’il avait ce

3 œuvres apparaissent. C’est donc de là qu’il faut partir , de cette base-là, non point d’une organisation abstraite parce que m

4 ions d’aide culturelle sur cette réalité de base. Partir d’en bas — non pas d’un centre trop élevé et trop abstrait —, des con

5 s pays ne pourrait être restaurée qu’au sein et à partir d’un ensemble plus vaste, qu’il s’agit de ranimer d’abord, et qui est

6 our le moment ? Or, il faut commencer. Refuser de partir d’un tel Projet, ce serait se condamner soit à l’échec de tout contre

7 dernier. Pour situer rapidement cette entreprise, partons de la deuxième question : où sommes-nous, Européens, en ce milieu du

8 de la Russie et de l’Europe ? Ils se produisent à partir du ix e siècle, quand les Slaves se voient simultanément conquis par

9 européenne récemment élaboré par la Fondation. À partir du 1er janvier 1956, M. Jean-Paul de Dadelsen a cessé de remplir au C

10 . Ils ne verront l’union comme une nécessité qu’à partir du moment où ils auront appris : — quelle est la situation précaire d

11 taires sur l’Europe. Regard en arrière Nous étions partis de l’idée d’un centre de rencontres personnelles, et presque de médit

12 la plupart réalisés. Certes, toutes ses fusées ne sont pas parties du premier coup : mais on sait aujourd’hui que cela peut arriver dans

13 pays seulement. Ce délai nous est-il assuré ? On est parti , bien sûr, et qui dit mieux ? Mais que feront d’ici-là tous nos autre

14 aire (juillet 1958)bx Le vrai problème 1. Partons de deux constatations de base : a) Une « Université européenne » créé

15 artisan, qu’il soit peintre ou ingénieur. Mais à partir du romantisme, celui qui exerce un art est appelé un artiste, et il n

16 e pensée : c’est « l’honnête homme ». Tandis qu’à partir du xixe siècle, la culture désigne de plus en plus l’ensemble des ac

17 ise par le milieu social ou par les praticiens. À partir du milieu du siècle dernier, les choses changent entièrement. Nous so

18 antes, jusqu’au moment où il sent qu’elles vont «  partir  », et qu’on peut les laisser aller vers les vastes récoltes futures.

19 cible, laissez-vous fasciner par lui, et le coup partira tout seul. » Le lendemain, je gagnais le galon d’or. Ce jeune lieuten

20 d’un civisme européen. Mais de quoi pouvons-nous partir , sinon des institutions existantes — et notamment de l’École — qui se

21 que vous y avez trop d’ennemis, et que si vous ne partez pas de votre propre gré, je me verrai contraint de vous expulser… Jeu

22 n ancien tuteur, le comte Zamoyski. Puis le train partit . » Retinger se voyait donc banni de tous les pays alliés, cependant q

23 après, l’ambassadeur polonais désigné n’ayant pu partir , Retinger fut chargé de représenter les intérêts de son pays à Moscou

24 pays à Moscou et de faire appliquer l’accord. Il partit en hydravion, via Arkhangelsk, et fut reçu à l’aérodrome de Moscou, a

25 efours de vérités hétérogènes » sur lesquels et à partir desquels l’esprit de synthèse pourrait s’exercer. Le nombre optimum d

26 dire ce qu’il est seul à pouvoir dire (surtout à partir du romantisme), mais en même temps il publie, il expose, il ambitionn

27 ition et innovation dans les arts en Europe Je partirai de deux citations d’écrivains anglais contemporains : « Continuité da

28 litique et réalités industrielles, et les régir à partir d’un centre unique de décision, par le moyen de bureaux où se concent

29 étatistes. Le problème de l’union de l’Europe à partir des États-nations paraissant insoluble en théorie autant qu’il le res

30 les voisins. Si l’on veut unir l’Europe, il faut partir d’autre chose que de ses facteurs de division, il faut bâtir sur autr

31 a) La vitesse du progrès vers l’union politique à partir des États-nations souverains étant demeurée nulle au cours des vingt-

32 ficile de faire mieux. La construction fédérale à partir des régions a l’avantage de ne pas heurter de front et d’entrée de je

33 al chez l’homme néolithique (nomade fixé au sol à partir du Xe millénaire avant notre ère). Au cours des siècles de l’histoire

34 lsaciens ont commencé à acheter des téléviseurs à partir du jour où les progrès techniques ont permis de fabriquer des postes

35 ions dans sa genèse même ; qu’elle s’est formée à partir d’influences indo-européennes, gréco-latines, celtes et germaniques,

36  : l’histoire et la géographie sont à reprendre à partir des réalités proches de l’élève, donc régionales, alors qu’elles sont

37 et non du sommet (des idéologies, du dictateur). Partir d’en bas, c’est-à-dire des problèmes dans leur réalité humaine la plu

38 aine la plus proche de la personne, c’est en fait partir des communes. Chacune des régions fonctionnelles que nous avons énumé

39 re maintenant les principales articulations. Nous sommes partis du mauvais pied quand, au premier Congrès de l’Europe, à La Haye en 1

40 t bloquer… Si donc on veut unir l’Europe, il faut partir d’autre chose que des obstacles à toute union, d’un autre plan que ce

41 ment, où le problème se révèle insoluble. Il faut partir des réalités en train de se faire. Et nous voyons qu’elles sont d’une

42 er service que je pouvais rendre à la France. » «  Partir sur le refus d’une grande réforme n’est pas mauvais. Je ne le regrett

43 s d’abord deux types de réponses possibles : — à partir des réalités locales qui exigent la région ; — à partir de la crise m

44 ossible à notre question, je la formulerai donc à partir des réalités les plus proches : de mon environnement, de mon milieu h

45 plus en plus la nuisance. Paradoxalement, c’est à partir des difficultés créées par « les frontaliers » (notamment dans les « 

46   B. Deuxième réponse possible à la question : à partir des réalités mondiales, de la crise globale et des leçons qui en déco

47 ous, qu’une composition de faits passés, opérée à partir des problèmes du présent ; une espèce d’utopie à rebours, d’anticipat

48 sent les mystiques. C’est de mes fins que je vais partir , non du passé que l’inertie porte à durer aux dépens du devenir perso

49 entale. Le peuplement de l’Europe s’est produit à partir du nord (Scythes, Doriens, Indo-Européens), de l’Anatolie et du Cauca

50 inverse d’une manière qui me paraît définitive. À partir du xve siècle, que fait l’Europe quand elle emprunte au Monde, faute