1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 funèbre, adieu à la guerre et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles conquêtes. Terriblement lucide, ce regard en arrièr
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
2 )am Quand vous avez fermé ce petit livre, vous partez en chantonnant le titre sur un air sentimental, bien décidé au fond,
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 st rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti . Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, je crois y trouv
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
4 a nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un roulement continu, martel
5 près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève-toi, pars , et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
6 ce désir, comme un tendre souvenir de voyage, et partir en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne… Déjà je suis repr
7 ont revêtu cet air inaccoutumé qui signale que tu es parti . Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d
8 eul instant — nos rêves sont instantanés — que tu es parti  ; et maintenant tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des main