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funèbre, adieu à la guerre et aux jeux, avant de
partir
pour de nouvelles conquêtes. Terriblement lucide, ce regard en arrièr
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)am Quand vous avez fermé ce petit livre, vous
partez
en chantonnant le titre sur un air sentimental, bien décidé au fond,
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st rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on
est parti
. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, je crois y trouv
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a nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ;
partir
en martelant le parquet jusqu’à produire un roulement continu, martel
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près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève-toi,
pars
, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
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ce désir, comme un tendre souvenir de voyage, et
partir
en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne… Déjà je suis repr
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ont revêtu cet air inaccoutumé qui signale que tu
es parti
. Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d
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eul instant — nos rêves sont instantanés — que tu
es parti
; et maintenant tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des main