1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 bien j’aurais juste le temps de le noter avant de partir . Ou bien je me mettrai à l’analyser plus longuement. Mais alors je le
2 i de ta lèvre, un peu sceptique, quand mon esprit partait dans le rêve d’un idéal de fortune, idole naïve de ma jeune angoisse…
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
3 parade — et l’on gagna. Enthousiasmé, « Mimosa » partit pour la Riviera afin de négocier la vente de cette martingale avec de
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
4 is un mot d’adieu à ma maîtresse d’une nuit et je partais dans une direction quelconque. Il advint que ce fut celle de l’Italie
4 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
5 uer, je ne faisais pas autre chose que le poète à partir d’un signe, d’un nom, d’une lumière de l’Hellade imaginée. Se souveni
6 ine « aux plaines du désert », et ce Gothard d’où partent les grands fleuves, le Rhin allemand, mais aussi l’Aigle vers l’Olymp