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hisons de la personne, n’existent réellement qu’à
partir
du moment où l’homme n’existe plus en tant que tel. Que l’homme s’aff
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ce que le bien de l’ensemble ne peut exister qu’à
partir
du bien de chaque personne. Le bien de l’ensemble est comme une exten
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ire était l’homme véritable, et duquel il fallait
partir
pour aboutir, dans quelques siècles peut-être, à un homme nouveau cap
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comme il l’a dit lui-même. Force nous est donc de
partir
du marxisme « moyen », théorique et vulgarisé, celui précisément que
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vidu n’a jamais existé qu’à l’état de définition.
Partir
des conflits quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des con
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ce du but.) Supposez maintenant qu’on vous dise :
partez
pour une course qui n’aura pas de fin, puisque vous devrez marcher ju
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ant — celui qui ne croit pas au but — refusera de
partir
, ou tentera de se suicider. Le croyant, au contraire, trouvera des fo
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force efficace n’est plus celle des fusils — qui
partent
tout seuls et dans tous les sens — mais celle d’un regard précis, d’u
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informe, voilà qui ne scandalise les masses qu’à
partir
du jour où elles constatent que « ça ne rend plus ». Et pour cette se
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d’autre sens pour nous. Bourgeois et marxistes
partent
de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté
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nt de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous
partons
de la liberté du risque, — c’est peut-être perdre sa vie. Cette oppos
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ute relative du communisme et du capitalisme. Ils
partent
donc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir
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qu’un point de départ soit juste. Il faut encore
partir
, — sinon le point de départ se transforme en un simple point de vue,