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sacré à l’inspection des terres. Chaque jour nous
partons
en break à deux chevaux, pour l’un des onze villages du burgraviat. P
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seau pointu sur leurs épaules naguère divines. Je
pars
à l’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon où beaucoup de g
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qui s’ouvre ramène le bal dans mes déserts. (Elle
est partie
. — Des rires en cape de velours s’enfuient vers les jardins.) Qu’il y
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st rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on
est parti
. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, je crois y trouv
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a nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ;
partir
en martelant le parquet jusqu’à produire un roulement continu, martel
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près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève-toi,
pars
, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
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ce désir, comme un tendre souvenir de voyage, et
partir
en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne… Déjà je suis repr
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ont revêtu cet air inaccoutumé qui signale que tu
es parti
. Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d
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eul instant — nos rêves sont instantanés — que tu
es parti
; et maintenant tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des main
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agination. Et pourtant il suffit de bien peu pour
partir
: la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que
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obus pour arrêter le courrier. L’autobus vient de
partir
. Il faut téléphoner au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac pos
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idé à renouveler ma tentative, dans un mois. Nous
sommes partis
ce matin à 5 heures, par l’autobus, ou « hustubuse » comme l’appellen
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geoises. Tout cela s’est dissous quand les hommes
sont partis
pour la guerre, et rien ne s’est refait depuis. Quand on veut danser
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aller au travail, et toi tu iras à la pêche. Ils
partent
pour le marais, vont tirer le sel, font ce qu’ils avaient à faire. Mo
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lles, et le défaut de buts communs. Il vaut mieux
partir
quand on en est là. Quand on en est à ne plus voir le voisin, la situ
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bourgeois ne l’imaginent : ceux qui voudraient «
partir
», se « libérer » et qui reculent pourtant devant le saut. Peut-être
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ons, qui est la vie du très grand nombre. Il faut
partir
d’ici, du niveau le plus bas, du canevas brut et plein de trous de l’
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ie la plus sanglante. La politique ne doit jamais
partir
de la réalité irrationnelle de l’homme : d’ailleurs elle ne le pourra
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lusieurs reprises que la politique idéale devrait
partir
de la personne. Elle doit tenir compte de la personne, et finalement
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l’extérieur. Une politique saine ne saurait donc
partir
de la personne, mais au contraire de l’impersonnel, pour se diriger c
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des gens en deuil ! — Mais, monsieur Simard… » Il
est parti
. Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne pe
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ons et les dessus de cheminée. Après-demain, nous
partons
. Nous fuyons. 35. Descartes, Spinoza, Hegel. 36. L’équivalent de
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les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit
partir
pour un Schulungslager (camp d’éducation sociale). Ça ne l’enchante p
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(c’est très simple : ils ne peuvent ni rester ni
partir
), il en vient à me parler non sans une vive nostalgie de l’œuvre de r
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universalisme peut-il être instauré ou restauré à
partir
d’une Église qui se dit « catholique » mais qui, en fait, est surtout
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voie dans le courant d’août à Gallimard, avant de
partir
pour l’Italie. Venise. Au théâtre doré de la Fenice, Honegger dirige
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lignés au cordeau qu’il faut inspecter gravement.
Partirons
-nous au milieu de la nuit ? Ou passerons-nous l’hiver ici ? Plus rien
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ans le dos, attiré en avant, je me décidai donc à
partir
. Et certes les raisons qui m’animaient n’étaient point exactement cel
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ent mériter ? Mais le Clipper et les paquebots ne
partent
plus que d’un seul port européen. Et pour l’atteindre, il n’est plus
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tte, il l’a ramassée en vitesse et s’est éloigné.
Partirons
-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis, les Ramblas pres
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lentement vers la crise finale, pourquoi ne point
partir
d’une crise subite ? Car avant elle, il n’y a point d’histoire, à pro
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ng câble à Buenos Aires. 17 juillet 1941 Je
pars
demain pour l’Argentine, où je donnerai douze conférences. Débâcle ru
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par cheval, chacun serrant les bras de l’autre et
partaient
au galop dans toutes les directions, à grands coups de baguette et gr
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re des ombus et des mandariniers. Plus tard, nous
sommes partis
pour les lagunes, à l’autre extrémité de l’estancia. Vingt kilomètres
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reales, les huppes, les compagnies de perdrix qui
partent
en claquant des ailes avec un bruit de castagnettes, les cuervos au l
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’armée vient de faire de gros achats, et que tout
est parti
pour les camps, ou l’Algérie, ou l’Angleterre. Après une ou deux sema
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e par la qualité et finit par la signification. À
partir
d’un certain moment, la gloire d’un homme confère de l’importance à l
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de Jim. — Mais où est Jim ? — Je ne sais pas. Il
est parti
. » Jim était l’intendant, une sorte de géant toujours en bottes, qu’e
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rer ? — On me dit que Mauriac a écrit : « Faut-il
partir
? » (pensant aux jeunes Français, répondant non). Que Bernanos s’est
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répondant non). Que Bernanos s’est écrié : « Mais
partez
donc ! la Terre est vaste ! » Que d’autres ont protesté que ce débat
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me dit qu’elle est posée dans nos pays : Faut-il
partir
? (Peut-on partir est une tout autre affaire.) Il se trouve que j’hab
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t posée dans nos pays : Faut-il partir ? (Peut-on
partir
est une tout autre affaire.) Il se trouve que j’habite, pour quelques
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péens devraient aller s’il s’agissait pour eux de
partir
. Je vois les avantages de l’Amérique et ses défauts, mieux qu’ils ne
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ue le problème est mal posé. Il ne s’agit ni de «
partir
» ni de rester, au sens pathétique de ces mots. Il s’agit simplement
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er. Ce n’est pas très facile, pratiquement ? Mais
partir
, ou rester, ne le sont pas non plus, apparemment, puisqu’on pose le p
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nait pas sur le monde d’après-guerre, le problème
partir
ou rester se résoudrait en termes simples : on verrait vite que c’est
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ns de continent comme on part en week-end. Le mot
partir
a donc changé de sens. Il a perdu son aura dramatique. Plus question
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vocable. Se déplacer devient un geste naturel, et
partir
annonce revenir comme on prend un billet d’aller et retour. La poésie
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27 mars 1946 Entre les deux mondes. — L’avion
partira
dans trois jours. Déjà, par l’imagination, j’habite l’Europe. Je circ
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n Amérique. Je pourrais rester moi aussi, laisser
partir
l’avion, oublier l’autre vie. Rien de plus facile. Rester assis dans
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t que nous ferons à rebours en trois heures. Nous
sommes partis
tout au début de la matinée. Voici déjà l’après-midi, voici le soir,
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“développe” comme on le dit en photographie. Nous
partons
pour une Ligue meilleure. Et plus heureux que Moïse, nous nous senton