1
qui se réunit à La Haye au mois de mai 1948. Tout
est parti
de là, on ne le dira jamais assez. Car le congrès de La Haye fut la s
2
au-delà des frontières et des nationalismes. Tout
est parti
de La Haye, je le répète : car, de chacun des trois motifs retenus et
3
entreprise fédéraliste n’a cessé de se dégrader à
partir
des journées de La Haye, chargées de destins ambigus. Surtout, qu’on
4
ste « l’Enlèvement d’Europe par un escargot »… Je
pars
de cette constatation, de ce scandale. Il faut tout reprendre à la ba
5
blématique, a été composé par les commentateurs à
partir
d’une trentaine de passages dispersés dans les Mémoires des sages et
6
ement par un accroissement de l’entropie. Il faut
partir
de l’unité donnée, qui est derrière nous et qui se continue en nous,
7
istiques de l’Europe. Pour désigner ces choix, je
pars
des grands conciles, de Nicée en 325, à Chalcédoine en 451. Au cours
8
t être compris dans ses structures complexes qu’à
partir
des modèles romains et germaniques, diversement utilisés par l’Église
9
rence et le besoin d’exprimer son « vrai moi ». À
partir
d’un certain niveau de culture, en Occident, le non-conformiste est b
10
l’Europe : ils ont produit la ruée colonialiste à
partir
des années 1880, trente-huit-millions de morts en deux guerres, la ch
11
n non comparable, et même tout à fait différent à
partir
d’un certain moment, d’un certain seuil… Les civilisations antiques d
12
s étatistes. Le problème de l’union de l’Europe à
partir
des États-nations paraissant insoluble en théorie autant qu’il le res
13
les voisins. Si l’on veut unir l’Europe, il faut
partir
d’autre chose que de ses facteurs de division, il faut bâtir sur autr
14
b) La vitesse du progrès vers l’union politique à
partir
des États-nations souverains étant demeurée nulle depuis un quart de
15
de ne pas faire mieux. La construction fédérale à
partir
des régions a l’avantage de ne pas heurter de front et d’entrée de je
16
al chez l’homme néolithique (nomade fixé au sol à
partir
du Xe millénaire avant notre ère). Au cours des siècles de l’histoire
17
s qu’on ne peut pas réussir l’union de l’Europe à
partir
des États-nations, car ce serait l’union des ennemis de l’Europe, voi