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veulent savoir, peut-être, ou même guérir ? ⁂ Je
suis parti
d’un type de la passion telle que la vivent les Occidentaux, d’une fo
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l m’aime, c’est par la poison Ge ne me pus de lié
partir
, N’ele de moi… Ainsi parle Tristan. Et Iseut après lui : Sire, por
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as au milieu d’elles et que je vais dans un autre
pars
, je me plains, je soupire et je languis. Est-il vraiment possible, s
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’espace. 4. Une technique de la « chasteté ». — À
partir
du vie siècle se répand rapidement dans l’Inde entière, tant hindoui
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rtant de reconnaître au moins, sa position. Qu’on
parte
de la passion ou de la mystique pour tenter de ramener l’une à l’autr
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es sont, quitte à les modifier par la suite. Or à
partir
du xiie siècle, les métaphores courantes sont celles de la rhétoriqu
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Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à
partir
du roman de Rousseau, qui naît comme en marge du siècle, nous allons
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re. Il n’en va plus de même dans notre histoire à
partir
des xiie et xiiie siècles. On voit alors le langage amoureux s’enri
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gue et flatteur. Comment expliquer autrement qu’à
partir
du xiie siècle, celui qui commet l’adultère devienne soudain un pers
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, de l’intégrer dans l’existence communautaire. À
partir
du xviiie siècle, le thème du « Coucher de la mariée » n’est plus qu
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veloppée dans notre histoire et nos cultures qu’à
partir
des xiie et xiiie siècles, et par l’impulsion décisive de l’hérésie
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que mon père et plus que mon mari ; et le voyant
partir
, je ne puis me défendre de pleurer… » Dès ce moment, ajoute le poète,
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, en imaginant une série de mutations phoniques à
partir
du nom de la pièce originelle. Dans le shatranj (persan pour chaturan
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l m’aime, c’est par la poison Ge ne me pus de lié
partir
N’ele de moi… Et Iseut : Il ne m’aime pas, ne je lui. Fors par un h