1 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
1 de chacune de nos histoires individuelles… Aussi, partout où l’on condamne sans pitié son prochain ou soi-même, soyons sûrs que
2 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
2 illes exténuantes, chaotiques et sentant mauvais. Partout , on payait moins les créateurs que ceux qui les utilisaient : on avai
3 dix fois le tour du monde ! Ils ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique. Jusqu’au jour bien plus terrifiant
4 pousse à fond, jusqu’à ce qu’il s’écroule. Ainsi, partout où quelque chose était vermoulu dans notre monde, dans son économie o
5 r a poussé à fond, jusqu’à ce que tout s’écroule. Partout où une faiblesse s’est révélée, il l’a châtiée sans scrupules ni pard
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
6 ue le diable a toutes les chances de mener le jeu partout où le sens s’évanouit, quand l’organisation perdant la tête se met à
7 supérieur, de dominer un inférieur, et d’observer partout les distances convenables. La coutume de nos parlements, de nos parti
8 nous, et donc de moi aussi. Mais si le diable est partout , sa figure se brouille. Et les définitions que j’en ai données succes
9 tie, qui pourtant n’est pas sainte ; mais il agit partout , il est dans tout… Vos descriptions, me dira-t-on, ne sont pas bien c
4 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
10 ive, une victime virtuelle des passions de masse. Partout où un individu prend sa vie personnelle en dégoût, le totalitarisme t
11 vidu s’égare dans ces vastes rouages, il s’y sent partout en exil. À moins qu’il ne s’y prenne par mégarde, comme on le vit réc
12 es, non pas les blues. Mais cette phrase entendue partout  : « Je ne sais pas pourquoi je vis. » Que trahit-elle ? Sinon l’affa
13 bile, derrière le regard de l’être sans amour. Et partout où l’amour est contrefait, vous le connaîtrez à ses fruits. S’il est
14 liqué, ce bâtiment. Des couloirs et des escaliers partout , un labyrinthe. Je suivais les tapis rouges, et les lampes rouges, co
15 -t-on que je suis un fou qui croit voir le diable partout  ? D’autres ne savent le voir nulle part. C’est plus dangereux. N’aura
5 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
16 aru dans notre siècle. Alors les mots qui courent partout ne mènent nulle part. Notre langage est débrayé. Plus on parle, moins
17 étruit la base même de nos fidélités. Il sait que partout où l’on appelle un chat un chat, le mal recule et perd de ses prestig