1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 939 Le désarroi de l’époque — nous lisons cela partout depuis vingt ans. Comme si rien de pire n’était imaginable. Comme si
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
2 dix fois le tour du monde ! Ils ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique. Jusqu’au jour bien plus terrifiant
3 saboteurs contre nos aérodromes. Mais on veillait partout . À la nuit, des barricades ont été dressées dans les rues de la ville
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 des boulevards n’ont pas de fenêtres et des trous partout dans leurs murs… Je songe à ce que me disait à Paris, il y a un an, O
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout . Ici, elles se rejoignent et se mêlent. Les grands souffles océanique
6 roupes de monuments. Le site et le paysage y sont partout sensibles. Les rues montent et tournent, épousant les collines. Le so
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 core des êtres et de l’émotion qu’ils causent, et partout en quelque manière de sa vie même. Vous ne connaîtrez jamais le pays
6 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
8 mois, j’essayais de m’y mettre10. Mais je fuyais partout , dans la rue, dans le monde, au cinéma, sous le moindre prétexte. À d
7 1946, Journal des deux mondes. Virginie
9 un pré d’un vert sombre enclos de murs. Du lierre partout . Çà et là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’he
10 rte de géant toujours en bottes, qu’elle emmenait partout avec elle. Je pense au regard d’acier du jeune homme silencieux de to
8 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
11 ou l’Autre monde. Le dire tout de suite, le dire partout , et toutes affaires cessantes — si l’on veut simplement qu’elles dure
9 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
12 yage vers les lieux et les choses que toujours et partout je porte en moi ? Mais il faut aller vers les êtres, car ce sont eux
10 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
13 qu’on s’en étonne parfois… La couche est mince et partout déchirée qui nous sépare du désordre profond. Mais ce n’est pas en Su