1 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
1 omparaison fait de bric et de broc et de ficelles partout visibles, mais touchant aux larmes, spirituel jusque dans l’émotion,
2 s sombres, ornées de branches de sapin à Noël. Et partout , dans tous ces sanctuaires, le même parfum de chêne ciré, de luxe, de
3 t transformée en une salle de banquet silencieux. Partout , des chœurs en robe, des fleurs, des croix, des cierges. Eh quoi ! c’
4 tièrement traduit en Amérique, et que j’ai trouvé partout des étudiants — non seulement chez les théologiens — qui le lisent et
2 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
5 mme la Gorgone du matriarcat américain. « Mom est partout , elle est tout et dans tous, et d’elle dépend le reste des États-Unis
6 . Derrière tous les motifs allégués, il y a comme partout l’adultère. En Europe, où l’on croit au mariage-sacrement, à la conti
3 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
7 En Amérique, tout se ressemble : vous trouverez partout le même drugstore, le Coca-Cola, et Main Street. Cette phrase ne rési
8 nce tout se ressemble, parce que vous y trouverez partout la même épicerie, les mêmes bistros sur la même place de village, les
9 tesse. Sur les autostrades et dans les airs, oui. Partout ailleurs, dans la vie quotidienne, l’Américain est plus lent que le F
4 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
10 es problèmes que le grand nombre a toujours fuis, partout . Peut-être alors les masses elles-mêmes comprendront-elles qu’il n’es