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je pense le véritable désordre. Une intelligence
parvenue
au point où elle « ne semble avoir rien d’autre à faire que son propr
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st qu’à force de discrétion dans les moyens qu’il
parvient
à une certaine puissance de l’effet, aux dernières pages. Il règne da
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gros lot, et jamais, je crains bien, jamais je ne
parviendrai
à le regretter… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse
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autrui, mais de ce que l’on est ; non point d’un
parvenu
, mais d’un aristocrate. Tous dangers égaux d’ailleurs, préférons cet
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sophiques.) Le tragique de Hölderlin, c’est qu’il
parviendra
de moins en moins à « réfléchir » sa création. De là sa folie, qu’il
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, — cette zone vide qu’il faut traverser avant de
parvenir
à la Réalité. Entre « déjà plus » et « pas encore »… Bon point de vue
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des obstacles. Je veux dire par là que M. Du Bos
parvient
à recréer comme pour son compte, tant il y apporte de pressante intui