1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
1 je pense le véritable désordre. Une intelligence parvenue au point où elle « ne semble avoir rien d’autre à faire que son propr
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
2 st qu’à force de discrétion dans les moyens qu’il parvient à une certaine puissance de l’effet, aux dernières pages. Il règne da
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 gros lot, et jamais, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le regretter… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse
4 autrui, mais de ce que l’on est ; non point d’un parvenu , mais d’un aristocrate. Tous dangers égaux d’ailleurs, préférons cet
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
5 sophiques.) Le tragique de Hölderlin, c’est qu’il parviendra de moins en moins à « réfléchir » sa création. De là sa folie, qu’il
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
6 , — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plus » et « pas encore »… Bon point de vue
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
7 des obstacles. Je veux dire par là que M. Du Bos parvient à recréer comme pour son compte, tant il y apporte de pressante intui