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e baigne ce paysage horizontal. Des voiles ocrées
passent
au ras des dunes basses qui ondulent à peine, en demi-cercle devant n
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lle a faite dans ma vie, entre les derniers jours
passés
à Paris non sans fièvre et cette arrivée au soleil dans une liberté n
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partout pour sauver « l’esprit » d’un pays. J’ai
passé
tout l’après-midi dessus. Cela commence par une chronique historique,
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— Le village se termine au bout de notre jardin.
Passé
la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne la pan
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lles à l’italienne. Comme on voudrait y vivre ! y
passer
des soirées attablé devant un verre de petit vin, à regarder le carré
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êmes éphèbes grecs, porteurs de torches qu’ils se
passent
avec des gestes lents, hallucinants, à grands sauts ralentis — le cou
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qu’« il cause bien ». Pour terminer la soirée, on
passe
un dessin animé, le Petit Poucet, qui remporte un gros succès. En sor
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et, qui remporte un gros succès. En sortant, nous
passons
devant la salle du curé, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma
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ent d’ailleurs, ce désir, en essayant de le faire
passer
d’ores et déjà pour une réalité. Deuxième constatation : il est très
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lus proche de notre île, et où nous devons encore
passer
deux heures en attendant le départ de l’autobus pour Taillefer. Nous
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i accepté l’invitation d’un ami qui nous offre de
passer
trois semaines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de
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? Non, le voyage des contes et des rêves où l’on
passe
toutes les gares sans s’arrêter, dans une course angoissante et agréa
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e ces bouts de champ grands comme ma chambre doit
passer
une partie de la journée à marcher de l’un à l’autre. Disposition enc
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était par la suite. Ils ont pris la chèvre, l’ont
passée
par-dessus le mur, et voilà ! Et pourquoi ? Pour plaisanter ! Quand j
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ieu d’eux, de manière à pouvoir, tout en parlant,
passer
des clichés dans la lanterne à projection. Pour assurer le fameux « c
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n qu’un certain nombre d’écrivains français aient
passé
au communisme : il leur fallait cela sans doute pour oser parler de n
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rs le conflit goethéen ; mais aujourd’hui tout se
passe
comme si le but final était bien moins de nous réaliser que d’informe
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jours l’éclosion des œufs.) Il me semble qu’il se
passe
des choses au fond du réduit obscur. La poule grogne furieusement qua
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uit obscur. La poule grogne furieusement quand je
passe
la tête. Je vais chercher une bougie, je réveille ma femme. Nous essa
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siers. Ensuite, il faut nourrir les poulets. J’ai
passé
bien des heures déjà à les regarder. Ils ont chacun leur nom, et leur
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leur nom, et leur petite allure particulière. Je
passe
la matinée à lire et à écrire sous les tilleuls, en maillot de bain.
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e vide, aux murs nus et aux fenêtres ouvertes, où
passent
le vent, une hirondelle, les bruits des champs. 10 juin 1934 De
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l sur leurs petits champs, nous crient quand nous
passons
: — Alors, on se promène ? 14 juin 1934 Il vient de m’arriver q
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Ensuite, j’ai calculé que cela nous permettait de
passer
l’été ici, sans inquiétude. Ou encore, de le passer ailleurs sans enn
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sser l’été ici, sans inquiétude. Ou encore, de le
passer
ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin souffle en
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in, dans le Gard. Autre lettre : une invitation à
passer
quinze jours dans un camp avec des amis en juillet. Tout cela probabl
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e fait un signe, et comme je ne comprends pas, il
passe
sa portette et vient me prier à voix basse d’aller attendre dans la p
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réglée, il croit devoir s’excuser de m’avoir fait
passer
à côté tout à l’heure. « Vous savez, c’est la coutume, ici : ils n’ai
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à décrire avec les mots de notre langue. Il ne se
passe
pas grand-chose dans ces pages, mais ce peu m’a suffi pendant des moi
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n considérable ouvrage allemand nous permettra de
passer
trois mois ou quatre sans trop de soucis matériels. La vie paraît un
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crépu se présente : il est étudiant, il est venu
passer
quelques jours chez son père qui est vigneron non loin d’ici. Curieux
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ngtemps avant la construction de cette maison… Je
passe
au fond dans une chambre obscure mais qui me paraît propre et sobre.
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e les auteurs des romans qu’on lui donne à lire «
passent
à côté d’elle sans rien dire, sans même la voir, sans la soupçonner »
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anvier 1935 Accueil de la maison : le courrier
passé
sous la porte nageait dans une flaque d’eau de pluie, plusieurs lettr
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ur son tabouret de cuisine, le doigt en l’air, il
passe
en revue les compagnies d’assurances — et analogues — avec lesquelles
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ger, il leur a retiré son assurance à lui, et l’a
passée
à d’autres. Il reste par bonheur : les assurances sociales, vie, décè
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coûté 50 francs. Autrement, vous savez ce qui se
passe
, les employés là-bas, au ministère, ils mettent l’argent dans leur po
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— dans la mesure où nous réussissons à nous faire
passer
pour des bourgeois ou des défenseurs du prolétariat. 25 février 19
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is pris ? 21 février 1935 Un fort vent doux
passe
de grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline toute proc
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it nous en guérir ? — Commençons par nous avouer.
Passons
outre à nos vieilles pudeurs : c’est le début de la cure. Ensuite il
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étrangeté. Alors seulement quelque chose peut se
passer
en vérité. Alors seulement, ma pensée trouve son point d’attache, déc
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s : — Tu m’entends ? Nous ôtres, nous allons vous
passer
à tabaque, toute la bande ! — Oh ! dit l’homme, si vous y arrivez, c’
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ache, et c’est déjà ça de sauvé. Mais il faudrait
passer
à une attaque active, et je cesserais tout aussitôt de m’agacer. (Au
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le ? — Oh, elle m’a bien reconnue, mais elle va «
passer
» cette nuit, vous savez, elle est toute chargée, bou die ! l’estomac
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e fumée remplit la chambre, des lueurs d’incendie
passent
devant la fenêtre. Je me précipite : ce sont les deux Simard qui font
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l’ennterdis, vous n’avez qu’à le leur dire ! » Je
passe
la tête par la fenêtre. — Qu’est-ce que c’est, Simard ? Il est rouge
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mercié. Bref, il m’a semblé que tout s’était bien
passé
. Je me trompais. C’est la mère Calixte qui me l’apprend ce matin. Le
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ôté, Monsieur. » Il n’entend rien. Que va-t-il se
passer
? Simplement il se lève à l’arrêt : c’est un jeune homme, plutôt peti
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la plus contraire à votre vocation, sous peine de
passer
pour un feignant et de se voir refuser toute espèce d’aide ou de cons