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hiques. Tous les 30 à 40 kilomètres en moyenne on
passe
une frontière en Suisse — et on change d’État. Ne dites pas que c’est
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libres de Schwyz et d’Uri au courant de ce qui se
passait
de l’autre côté des Alpes, et leur apportaient les modèles des allian
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ière puissance militaire de l’Europe. Les Suisses
passèrent
les Alpes, envahirent la Lombardie, prirent Milan et battirent l’armé
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Milan et battirent l’armée du roi de France. Ils
passèrent
le Rhin, envahirent la Souabe et battirent les armées de l’empereur.
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ans la montagne, il se bâtit un ermitage, et il y
passera
vingt ans sans rien manger que l’hostie une fois par semaine. Sa lége
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sements de Nicolas de Flue, et ce fut lui qui fit
passer
dans la réalité l’idéal politique de l’ermite. Nommé curé de Zurich,
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stocratique de tous —, et qu’à peine la frontière
passée
, il descendit de sa voiture, se jeta sur le sol pour embrasser la « t
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s aux États-Unis, quitter le territoire national,
passer
quelques jours au Canada, au Mexique, à la Havane, ou aux Bermudes, y
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as « suspendue à la radio » pour savoir ce qui se
passe
à Berne, et si le gouvernement sera renversé : nous avons vu qu’il ne
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e premier par l’initiative19. » Rien de ce qui se
passe
à Berne n’est donc irrémédiable, ne doit être pris au tragique. La Co
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projet de Constitution dit pacte Rossi ; puis il
passa
en France, où il fut créé pair et ambassadeur, et finalement mourut a
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cessaire au pays, la surface des emblavures ayant
passé
de 300 000 hectares en 1850 à 114 000 en 1914. Certes, les techniques
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s : la production agricole (calculée en calories)
passait
de 52 à 80 % du total nécessaire à la consommation. Cet effort collec
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astiqué de modernisme, autour des monuments d’un
passé
soigneusement conservé. Le peuple suisse n’a pas donné de très grands
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ontrent que le revenu national, de 1938 à 1947, a
passé
de 9 à 17,4 milliards. Si l’on soustrait le montant des impôts direct
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la même période, on constate que le revenu réel a
passé
de 8409 à 9689 millions. Mais c’est dans sa répartition que se marque
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la condition que les élèves ainsi formés puissent
passer
avec succès les examens des écoles publiques. En fait, presque tous l
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liques. En fait, presque tous les enfants suisses
passent
par l’école primaire publique, de l’âge de 6 ou 7 ans jusqu’à l’âge d
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st pas le fait de toute une classe ou d’un parti.
Passer
pour un bon soldat ou un bon officier est généralement « bien vu » da
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re part, l’obligation pour tout citoyen valide de
passer
par une école de recrues, soit qu’il reste soldat, soit qu’il devienn
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ains historiens modernes comme des survivances du
passé
alémanique. À l’exception de la Rhétie (les Grisons d’aujourd’hui) et
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yte » du pape, apprend en 1517 ce qui vient de se
passer
à Wittemberg : l’affichage des thèses de Luther. À cette époque, la S
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e, tandis que les conflits économiques et sociaux
passaient
au premier plan et nourrissaient des passions bien différentes. Enfin