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ège autrichien, et de mes devoirs à son égard, je
passe
une partie de la nuit à me préparer. Le thème que l’on m’a proposé :
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Dans les années 1950, il était difficile de faire
passer
le moindre article sur l’Europe dans la grande presse. Quand le mot «
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et donc déterminées par l’avenir plus que par le
passé
. Et d’abord, instaurer le sens communautaire dans les esprits. Dans c
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souvent à cheval sur une frontière). Et de là, on
passera
à l’ensemble européen et au Monde. Cette réforme aurait pour effet de
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il fallait non seulement évoquer les souvenirs du
passé
mais aussi susciter des espoirs pour l’avenir ; non seulement nous do
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il se doit, beaucoup moins sur les expériences du
passé
, toujours ambiguës comme on le sait, que sur une espérance active, su
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de l’individu naturel et de ce qui dans l’homme «
passe
infiniment l’homme » comme dit Pascal : le transcendant. Une nature i
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irmé ce qu’il tenait pour juste et bon — que cela
passe
pour « réaliste » ou non. Il y a dix ans, pendant un comité préparato
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la personne puisse se réaliser. ⁂ J’eus ensuite à
passer
la parole à l’un de nos camarades fédéralistes de la première heure,
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épendance nationale », se trouve capable de faire
passer
certaines mesures catastrophiques imposées à l’économie (telles que l