1 t-elle pas plutôt un rôle d’inspiratrice, un rôle passif en quelque sorte ? Justement pas. Elle devenait la maîtresse, le seig

2 l’universel, tandis que l’individu est le produit passif de la décomposition sociale, grain de poussière dans une masse ou col

3 mariage — amour actif — de l’amour-passion — donc passif — qui tend à uniformiser les deux êtres, à réduire l’autre à la loi d

4 te de joueurs. Mais dans la masse des spectateurs passifs , la partisanerie cloisonne et appauvrit. Elle existe partout en Europ

5 ésormais non plus de petits nationalistes, sujets passifs d’un État sans visage, et rouages d’une société mécanisée, mais bien

6 dans la gestion d’une entreprise. Au sens le plus passif , c’est « faire partie », être inclus dans une classe ou un tout quelc

7 . Dans la mesure où le savant se veut observateur passif , il est mauvais citoyen, et dans la mesure où en tant que citoyen il

8 participation active est nulle, la participation passive , obligatoire et universelle, est donc totale. Les limites extrêmes de

9 llement dirigeante. La classe pseudo-informée (ou passive ) se trouve manipulée vers un bonheur plus ou moins hilare par une min

10 ciper, et que certains sont actifs, mais d’autres passifs , tels les « sportifs » du dimanche, qui se contentent d’assister aux

11 . Mais la différence entre participants actifs et passifs n’en sera que plus marquée, sinon plus sensible : car la plupart des

12 s ici l’idée des deux classes — les actifs et les passifs — à quoi nous conduisaient nos précédentes analyses. La démocratie se

13 ans intérêt de relever ici que ma description des passifs et des actifs civiques recouvre assez exactement la distinction que j