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que la chrétienne, simplement. C’est la théologie
païenne
par excellence, celle de l’État-Dieu, qui veut l’obéissance aveugle…
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de tous les mystiques, orientaux ou occidentaux,
païens
ou chrétiens, hétérodoxes ou orthodoxes. Je n’ai pas la prétention de
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Contraintes sacrées. Le mariage, chez les peuples
païens
, s’est toujours entouré d’un rituel dont nos institutions gardèrent l
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e l’être. Et c’est Éros, l’amour-passion, l’amour
païen
, qui a répandu dans notre monde occidental le poison de l’ascèse idéa
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onomie provisoire de la Création, de l’humain. Le
païen
ne pouvait autrement que de faire un dieu de l’Éros : c’était son pou
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dément lié au fait de vivre. Toutes les religions
païennes
divinisent le Désir. Toutes cherchent un appui et un salut dans le Dé
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christianisées, précisément, là où les religions
païennes
menaient encore une vie secrète. L’amour-passion n’est pas l’amour ch