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i avaient privé le mythe de son contenu religieux
païen
, le Moyen Âge tente parfois de lui rendre un contenu religieux chréti
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is, ceux de Japhet « indifférents », c’est-à-dire
païens
, « attachés aux biens de ce monde », mais capables de se convertir11.
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nt « indifférent » (à l’égard de la vraie foi) de
païens
et de convertis toujours plus nombreux, qui porte en bloc le nom d’Eu
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âcheusement les coupables amours du roi des dieux
païens
et d’une fille de Tyr, cette ville cent fois maudite par les Prophète
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us Claudien (né à Alexandrie vers 365, et demeuré
païen
) désigne en effet les « ennemis » de l’Europe : le maure Gildon et le
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s de la Terre, voulues et garanties par les dieux
païens
! Pour cet ancêtre du nationalisme, qui ne manque pas de lucidité, l’
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us renvoie. De lui viennent l’autorité (un prince
païen
ne saurait être qu’un « brigand »), le droit de propriété et de succe
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es qu’elle occupa longtemps une grande partie des
païens
en même temps que le sépulcre du Seigneur. Il n’y avait pas de nation
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À quoi bon avoir résisté à la puissance des chefs
païens
, si maintenant tu ne peux plus soutenir l’assaut de tes voisins ? Ô v
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r à désigner de nouveau par son nom légendaire et
païen
cette part du genre humain dont il ne sait que trop que les premiers
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arlé des chrétiens, juifs, mahométans et même des
païens
) se fondent sur preuves, allèguent leurs miracles, et chacun presume
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’entre les systèmes philosophiques de l’antiquité
païenne
la secondent et que, d’autre part, elle cultive trois admirables lang
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sectaire, qu’ils ne le sont des musulmans et des
païens
. Les derniers États catholiques continuèrent à végéter, non sans se r
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e surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité
païenne
succède la fraternité chrétienne.193 Sa conception de l’union des p
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a chrétienté — surmonta les périls de la barbarie
païenne
, résistant à ses assauts tant extérieurs qu’intérieurs et à la pressi
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dore Dieu avec un cœur disposé comme le cœur d’un
païen
de Rome dans l’hommage rendu à l’empereur, ce chrétien aussi est idol
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a détruit ou écarté les croyances « naturelles »
païennes
et barbares qui hantaient les forêts ombragées et les brumeux rivages
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Mineure et même un certain « folklore » local et
païen
, qui vint s’ajouter au cours des temps, firent de la tradition chréti