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blic, de l’humour américain, l’on comprendra sans
peine
la popularité mondiale des « idées » d’Henry Ford et des livres qui l
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dans l’appréciation. Il semble qu’il n’ait aucune
peine
à se juger impartialement, sans exagérer sa critique et sans nulle co
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de toute théologie efficace. Peut-être vaut-il la
peine
de préciser ici et de pousser dans le détail une accusation que certa
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hée du concret de nos vies que l’on comprend sans
peine
l’indifférence où le public la tient. Un philosophe « sérieux » pour
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es pantalons trop longs. On montrera sans trop de
peine
que ses idées sont faites pour rendre la vie impossible, puisqu’elles
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es alors dispensé d’agir, et que ce n’est plus la
peine
de faire aucun effort. Si tout est décidé d’avance, il n’y a plus qu’
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s compromis, des accords minima, obtenus non sans
peine
et forcément trop généraux. Mais il y a plus. L’erreur commise jusqu’
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a communauté ! Ce ne sera pas encore la fin de la
peine
des hommes, la vie sans poids. Pas encore le Jour éternel. Mais quelq