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. Partis du classicisme de David et d’Ingres, les
peintres
français ont accompli, durant le xixe siècle, une exploration mervei
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çon de peindre correspond à la façon de penser du
peintre
. Souhaitons d’entendre encore M. Meili. Est-il besoin de souligner l’
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aires à ce regroupement existe : il y a de jeunes
peintres
neuchâtelois. Quant à savoir s’il est possible déjà de discerner parm
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ublic des jeunes artistes, n’existant pas ici, le
peintre
se trouve placé d’emblée en face de ce qu’on nomme le gros public. L’
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jusqu’à André Evard, qui en a près de 50, si les
peintres
dont nous allons parler méritent d’être appelés jeunes, c’est par leu
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e puisse rapprocher, parce qu’il est un des rares
peintres
de ce pays pour qui la couleur existe avant tout. Mais la nostalgie d
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etin. Tiens, me dis-je, Bouvier va peindre. Comme
peintre
religieux, il se cherche encore. On a pourtant l’impression, à voir s
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ions, présentations : « André Evard. — Les jeunes
peintres
. — Vous suivez la même route que nous ? À la bonne heure ! ». Et l’on
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cision de La Chaux-de-Fonds… Avant de quitter les
peintres
, rappelons le souvenir de Charles Harder, qui est mort jeune, sans av
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t une pendule de Ditisheim ; que Vincent Vincent,
peintre
, romancier et critique d’art, compose des coussins, des couvertures d