1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 . Partis du classicisme de David et d’Ingres, les peintres français ont accompli, durant le xixe siècle, une exploration mervei
2 çon de peindre correspond à la façon de penser du peintre . Souhaitons d’entendre encore M. Meili. Est-il besoin de souligner l’
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 aires à ce regroupement existe : il y a de jeunes peintres neuchâtelois. Quant à savoir s’il est possible déjà de discerner parm
4 ublic des jeunes artistes, n’existant pas ici, le peintre se trouve placé d’emblée en face de ce qu’on nomme le gros public. L’
5 jusqu’à André Evard, qui en a près de 50, si les peintres dont nous allons parler méritent d’être appelés jeunes, c’est par leu
6 e puisse rapprocher, parce qu’il est un des rares peintres de ce pays pour qui la couleur existe avant tout. Mais la nostalgie d
7 etin. Tiens, me dis-je, Bouvier va peindre. Comme peintre religieux, il se cherche encore. On a pourtant l’impression, à voir s
8 ions, présentations : « André Evard. — Les jeunes peintres . — Vous suivez la même route que nous ? À la bonne heure ! ». Et l’on
9 cision de La Chaux-de-Fonds… Avant de quitter les peintres , rappelons le souvenir de Charles Harder, qui est mort jeune, sans av
10 t une pendule de Ditisheim ; que Vincent Vincent, peintre , romancier et critique d’art, compose des coussins, des couvertures d