1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
1 plus loin. Il est clair qu’entre l’activité d’un peintre , d’un savant, d’un écrivain, et les intérêts d’un ministre, les rappo
2 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
2 ésident de l’Académie des beaux-arts de l’URSS et peintre célèbre, répondit : « Ce serait nuisible pour nos peintres… Le chemin
3 célèbre, répondit : « Ce serait nuisible pour nos peintres … Le chemin de l’art décadent est trop facile. Ce qui est facile se ré
3 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
4 re le Grand. Des architectes, des sculpteurs, des peintres russes commencent à collaborer et bientôt à rivaliser avec les innomb
5 s, de techniciens de tout poil, d’architectes, de peintres , de musiciens, de chanteurs et de danseurs, de spécialistes d’art mil
6 es exemples bien connus. En 1897, Diaghilev et le peintre Alexandre Benois fondent à Pétersbourg la revue Le Monde de l’art. Un
4 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
7 ns sur les relations culturelles existantes. ⁂ Le peintre français Chapelain-Midy a été l’hôte des peintres russes, à l’occasio
8 peintre français Chapelain-Midy a été l’hôte des peintres russes, à l’occasion d’une exposition d’art français organisée à Mosc
9  » (France-Soir, 19 janvier 1956). Selon lui, les peintres russes ne s’intéressent qu’aux scènes historiques et aux scènes de ge
10 et aux scènes de genre. « Le client essentiel du peintre est l’État », qui lui commande des sujets déterminés, lui achète des
11 les gares, les bureaux et les grands hôtels. Les peintres russes admirent « Poussin, David. Delacroix, Courbet et Daumier… (à c
5 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
12 elui qui exerce un art est un artisan, qu’il soit peintre ou ingénieur. Mais à partir du romantisme, celui qui exerce un art es
6 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
13 capitale. Vuillard, Bonnard et Laprade, parmi les peintres , André Gide, Arnold Bennett, Larbaud, Paul Valéry et Léon-Paul Fargue
14 e capitaine du « Roger de Lluria » était un jeune peintre , le premier-maître un mathématicien, et le second-maître s’essayait à
7 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
15 les Flandres, redescendent par la Bourgogne. Les peintres flamands vont faire des portraits à Gênes. Plus tard, les Allemands p
8 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
16 ui doit exécuter exactement les rites, ou pour un peintre officiel sous Staline. L’imitation, en Europe, n’est qu’un moyen de m
17 on de soi et de la communication ou communion. Un peintre , un poète, un musicien, veut d’abord dire ce qu’il est seul à pouvoir
18 ands » parmi les maîtres de leur jeunesse que les peintres fondent une nouvelle école, et découvrent leur style. Or, presque tou
19 rites, curieusement « modernes » à leurs yeux, de peintres beaucoup plus anciens, et que leurs successeurs immédiats avaient fai
20 Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre , c’est simplement l’école locale ou régionale dans laquelle il s’est
21 uelles, de même que Grünewald n’est pas devenu un peintre français du fait de l’annexion de Colmar à la France des siècles aprè