1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
1 s pour que s’y développent à foison des écoles de peintres , des galeries d’exposition, des troupes d’acteurs, des groupes d’écri
2 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
2 rain d’écrire. Combien d’écrivains véritables, de peintres et de musiciens, se voient offrir chez nous ces possibilités — à tous
3 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
3 même existentialiste. Il s’est fait un langage de peintre , en prose. Plutôt que d’une « rationalité adéquate », le jeune Suisse
4 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
4 misme. Les musiciens (comme le dit Ansermet), les peintres , les écrivains refusent de donner forme à l’irrationnel, ils ne veule
5 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
5 lternant les voix devant le micro : parmi eux, le peintre Ozenfant (qui vient de mourir), Lévi-Strauss, un des fils Pitoëff, et
6 t dégonflé. (Combien de poètes, et plus encore de peintres , n’ont jamais pu vraiment s’approuver dans leur cœur, parce que Breto
7 arrivée à New York. Il avait pour noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le cours des arts, Max Ernst, Matta, Tang