1
, comme le rappelait la devise de Nicolas Manuel,
peintre
, poète, soldat, réformateur, banneret de Berne, et Suisse selon mon c
2
se, de tous ces hallebardiers empanachés dont les
peintres
du temps, Urs Graf, Manuel, Holbein, nous ont laissé l’image truculen
3
s n’avons pas en Suisse de poètes de génie, ni de
peintres
qui aient fait époque, ni de compositeurs du plus haut rang. Hölderli
4
Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un
peintre
, c’est simplement l’école locale ou régionale dans laquelle il s’est
5
asme, Thomas Platter et Paracelse, Holbein et les
peintres
de l’école rhénane, et les grands éditeurs humanistes, dont le premie
6
e un mot plus haut que l’autre. Une exposition de
peintres
suisses au xvie siècle me fit écrire sur le plus grand d’entre eux —
7
es planches de minéralogie que nous bariolent les
peintres
d’Alpe. Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des hommes, vue par les y
8
ble, comme Blake, Shelley et Bakounine), c’est un
peintre
de genre fantastique, dont les « sujets » sont pris au rêve. Une sort
9
o, hélas ! », répondait André Gide. Le plus grand
peintre
suisse, c’est Ferdinand Hodler 90. Les critiques d’art alémaniques et
10
este qu’il touche les Suisses plus qu’aucun autre
peintre
, et qu’on le trouve partout dans ce pays, dans les trains et dans les
11
berto Giacometti Les Grisons ont eu trois bons
peintres
: Segantini, berger dans sa jeunesse et paysagiste de l’Engadine, Gio
12
ague de maîtres bavarois, et l’école d’Avignon de
peintres
italiens, l’opéra français de Lully, et ainsi de suite à l’infini. À