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eur telle que le style même d’un écrivain ou d’un
peintre
peut être attaqué par les fonctionnaires de l’État, qualifié de sabot
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trant les structures de l’Inconscient. Qu’il soit
peintre
, poète ou conteur, plus il s’avance dans ce domaine, plus il s’isole
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ui doit exécuter exactement les rites, ou pour un
peintre
officiel sous Staline. L’imitation, en Europe, n’est qu’un moyen de m
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on de soi et de la communication ou communion. Un
peintre
, un poète, un musicien, veut d’abord dire ce qu’il est seul à pouvoir
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ands » parmi les maîtres de leur jeunesse que les
peintres
fondent une nouvelle école, et découvrent leur style. Or, presque tou
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rites, curieusement « modernes » à leurs yeux, de
peintres
beaucoup plus anciens, et que leurs successeurs immédiats avaient fai
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Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un
peintre
, c’est simplement l’école locale ou régionale dans laquelle il s’est
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des rêveurs, quelquefois des théologiens, ou des
peintres
, ou des touche-à-tout. La brouette, la roulette et les lois du hasard
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quelles fins utiles. Pour se faire le mécène d’un
peintre
ou d’un auteur, il suffisait d’avoir de l’argent et du goût, une cert
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art. Combien de fois n’ai-je pas entendu un jeune
peintre
ou un jeune compositeur soupirer : « Après x ou y on ne sait plus que