1 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
1 eur telle que le style même d’un écrivain ou d’un peintre peut être attaqué par les fonctionnaires de l’État, qualifié de sabot
2 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
2 trant les structures de l’Inconscient. Qu’il soit peintre , poète ou conteur, plus il s’avance dans ce domaine, plus il s’isole
3 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Éducation, civisme et culture
3 ui doit exécuter exactement les rites, ou pour un peintre officiel sous Staline. L’imitation, en Europe, n’est qu’un moyen de m
4 on de soi et de la communication ou communion. Un peintre , un poète, un musicien, veut d’abord dire ce qu’il est seul à pouvoir
5 ands » parmi les maîtres de leur jeunesse que les peintres fondent une nouvelle école, et découvrent leur style. Or, presque tou
6 rites, curieusement « modernes » à leurs yeux, de peintres beaucoup plus anciens, et que leurs successeurs immédiats avaient fai
7 Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre , c’est simplement l’école locale ou régionale dans laquelle il s’est
4 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Culture et technique en Europe et dans le monde
8 des rêveurs, quelquefois des théologiens, ou des peintres , ou des touche-à-tout. La brouette, la roulette et les lois du hasard
5 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Pour une politique de la recherche
9 quelles fins utiles. Pour se faire le mécène d’un peintre ou d’un auteur, il suffisait d’avoir de l’argent et du goût, une cert
6 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Il n’y a pas de « musique moderne »
10 art. Combien de fois n’ai-je pas entendu un jeune peintre ou un jeune compositeur soupirer : « Après x ou y on ne sait plus que