1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
1 t profond et nasillard d’origine juive ; une main pend sur l’ébène, succombant à ses bagues. On voudrait que cela dure longt
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 sur la fourrure du dolman rouge ou jaune, laisse pendre son petit mouton. Aiguillettes, brandebourgs, aigrettes des bonnets à
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
3 . Mais le type qui m’a parlé avait la langue bien pendue . Mais surtout je m’avise que la majorité des « intellectuels » d’aujo
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
4 ones, animées de lumières çà et là, de linges qui pendent aux fenêtres, et d’une population de couples aux balcons. (Je disting
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
5 aller à cheval, ces uniformes, ces poignards qui pendent à vos ceinturons, ces défilés farouches — tout cela signifie guerre e
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 ’on n’a pas eu besoin de changer de régime, et de pendre les récalcitrants, pour construire ces routes prodigieuses au regard
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
7 e Pennsylvanie. Nous y fûmes. La bannière étoilée pendait immensément du dôme perdu dans l’ombre, deux orchestres alternaient d
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
8 rrive et propose un plafond de parapluies ouverts pendus par la poignée. « Toutes les femmes comprendront », ajoute-t-il, myst