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se qui naît de l’ordre », et aussi parfois, de la
pensée
que « sur ces corps de l’entre-deux-guerres, … cinq sur dix sont dési
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l’esprit. » M. de Montherlant illustre sa propre
pensée
de cette citation d’un dominicain : « Formez des jeunes filles assez
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us promet le groupe neuchâtelois des « Amis de la
pensée
protestante ». M. Guisan avait choisi un sujet qui permet de façon pa
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it. Tel est l’enseignement de Jésus, telle est la
pensée
qu’a voulu restaurer le protestantisme. La place nous manque pour lou
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xposant les exigences de l’Évangile en face de la
pensée
moderne, et fut impressionnant de vigueur dialectique et de largeur d
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u l’on monta suivant M. A. Léo — du domaine de la
pensée
pure dans celui de l’action. M. Cadier montra le conflit de la théolo
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élodieuse lassitude. Vivre ainsi simplement. Sans
pensée
, perdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature… L’homme c
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amento. Le ciel est un silence qui s’impose à nos
pensées
. Ici la vie n’a presque plus de sens, comme le fleuve. Elle n’est qu’
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noble. i. « Troisième conférence des Amis de la
pensée
protestante : La révocation de l’édit de Nantes », Feuille d’Avis de
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ta une liqueur. Et quand j’eus fini de boire, mes
pensées
plus rapides s’en allèrent un peu vers l’avenir et j’osai quelques rê
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un brouillard de fumée, et la musique noyait mes
pensées
. Je vis qu’une femme était assise à notre table, en robe rouge, et tr
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in-Rouge avaient peu à peu envahi notre sang. Nos
pensées
devenaient légères comme des ballons. La rumeur de Vienne baignait no
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Un soir, après quelques alcools et un échange de
pensées
au même titre avec une amie d’une beauté de plus en plus frappante, i
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(1er mai 1930)p 1. Un petit volume « lourd de
pensée
», comme disent bizarrement les journalistes. (L’esprit n’est-il pas