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s facultés vers un objet unique et dans une seule
pensée
— l’identification, par la conquête chez l’un, par l’abandon chez l’a
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tention sur un objet non corporel, œuvre d’art ou
pensée
d’un ordre difficile, peut échouer comme par court-circuit dans le pl
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ses bras, et la contemple. Et il la nomme dans sa
pensée
, comme s’il doutait… Adolescence ! Le charme du désir est celui du s
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ion permanente, préventive… Militarisation de nos
pensées
, de nos images. Hier, dans l’autobus, une petite dame assise devant m
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venir. g. « Mémoire de l’Europe », Revue de la
Pensée
française, New York, septembre 1943, p. 22-29.
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une série d’écrits à venir : il est temps que la
pensée
politique rejoigne la psychologie contemporaine. Depuis quatre ans,
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té en général que celle qu’impose la fin de toute
pensée
. C. Restons, si vous le voulez, sur le plan du langage. N’est-ce pas
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3e règle de sa méthode : « Conduire par ordre mes
pensées
en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à con
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us interrompre davantage aux développements d’une
pensée
qui m’est curieusement étrangère. Vous parliez d’une vision totale ?…
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analystes modernes : 14. une des quatre facultés (
pensée
, intuition, sentiment, sensation) 15. un des archétypes de l’inconsci
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Coupes = Cœur = Sentiment = Feu Épées = Trèfle =
Pensée
= Eau Deniers = Pique = Sensation = Terre Enfin, selon R. M. de Marin
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= Intuition = Air Deniers = Carreau = Création =
Pensée
= Feu Il semblerait, à lire cette liste, que les arcanes représentent
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e ambiance domestiquée. Il est grand temps que la
pensée
redevienne ce qu’elle est en réalité : dangereuse pour le penseur, et
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s bons esprits, les professeurs, pour lesquels la
pensée
est un art d’agrément, un héritage, une carrière libérale, ou un capi
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e l’opinion du monde en est à peu près là, que la
pensée
ne peut venir qu’à la remorque d’événements qui n’ont cure de ses arr
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ont cure de ses arrêts. C’est que l’on confond la
pensée
avec l’usage inoffensif de ce que des créateurs ont pensé, au prix de
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Dialogues sur la bombe atomique : La
pensée
planétaire (30 mars 1946)q Le xxe siècle est en train de découvri
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i notre siècle arrive à digérer et intégrer cette
pensée
-là, il aura fait une révolution bien plus grande que la Renaissance.
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me !… q. « Dialogues sur la bombe atomique : La
pensée
planétaire », Pour la Victoire, New York, n° 13, 30 mars 1946, p. 1-2
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ir établi, le contact avec le réel, contact de la
pensée
qui, s’il ne s’accompagne pas du contact des sens, conduit à l’insond
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yeusement à la chute dans l’abîme : « Personne et
pensée
ne sont point séparables, et toutes deux ne sont possibles que dans c
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La
pensée
planétaire (30 mai 1946)w Le xxe siècle est en train de découvrir
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i notre siècle arrive à digérer et intégrer cette
pensée
-là, il aura fait une révolution bien plus grande que la Renaissance.
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r de Vol de Nuit et de Terre des Hommes. w. « La
pensée
planétaire », Servir, Lausanne, n° 22, 30 mai 1946, p. 1.
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sed nunc stans. Parmi toutes les libertés que la
pensée
se donne lorsque, se dégageant de notre condition, elle imagine des i
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use cousue de fil blanc de ma vitalité : la seule
pensée
que mon souffle puisse, dans quelques instants, s’arrêter, accélère m
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, dans son ensemble, résiste instinctivement à la
pensée
de la Fin, refuse de toutes ses forces de la « réaliser », bien plus,
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ité, mais seulement ce qui la condamne. Ainsi, la
pensée
de la Fin a les meilleures raisons du monde d’être pensée ; toutefois
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e la Fin a les meilleures raisons du monde d’être
pensée
; toutefois l’effort entier de notre vie la neutralise. D’où vient al
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grand nombre, à tous les lettrés sans esprit, la
pensée
de la catastrophe s’acclimate lentement parmi nous ? D’où, sinon de l
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ive Église, au début de notre ère, vivait dans la
pensée
de la fin imminente. Mais parmi nous, qui avons cru pouvoir éliminer
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penser sa fin, ni rien. Elle ne peut être en soi
pensée
, et l’homme en elle reste à peu près dénué de réalité, jusqu’au jour
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e absolue de ses journées et de ses nuits, de ses
pensées
et de ses gestes, de son savoir, de ses refus, de ses aveuglements, d