1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 cière entre la foi chrétienne de l’Occident et la pensée religieuse de l’Asie1. Sur d’autres plans, pourtant, les différences
2 jours, tous les esprits occidentaux nourris de la pensée mystique du Proche-Orient8 ont accolés à nos deux termes. Nous aurons
3 e. Yin yang Dans le symbole central de la pensée chinoise (le cercle divisé par un grand S qui représente la Voie ou l
4 bien que leurs résultats se montrent, non dans sa pensée , mais dans ses faits et gestes. Ceci vaut surtout du cas qu’il fait d
5 urs modernes qui se réclament en Occident de la «  pensée traditionnelle ». Ces utopistes à rebours projettent dans un passé qu
2 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
6 i, fût-ce par son seul échec, la dissidence de la pensée dans le monde moderne. À partir de 1919, les influences dominantes su
7 entre la conscience et le réel, naît l’idée d’une pensée impuissante, d’une réalité terrifiante et d’un sens fatal de l’Histoi
8 peu, et les cerveaux électroniques dicteront nos pensées par radio. Adieu Nature, flânerie, méditation sans but ! La monotonie
9 e nom anglais d’automation. Il est curieux que la pensée occidentale, découvrant le péril avec cent ans de retard, ait porté s
10 la nouveauté de l’époque : bel exercice pour une pensée régulatrice, que d’en maîtriser les vertiges ! Je propose la clôture
3 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
11 s plus efficaces et plus puissants, car c’est aux pensées qu’ils commandent, aux sentiments, aux sources mêmes de l’invention e
4 1958, Articles divers (1957-1962). Pourquoi la guerre ? Un échange de lettres prophétique entre Einstein et Freud (avril 1958)
12 le et moyen. L’autre répond dans la rigueur de sa pensée  : il est chez lui. Que dit Einstein ? Il dit que, la guerre étant dev
5 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
13 nscience d’une commune appartenance aux formes de pensée et de vie qui définissent notre culture et notre civilisation, au-del
6 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
14 qui n’avaient pas attendu Valéry, une habitude de pensée pessimiste s’est installée dans nos esprits. Non seulement nous avons
7 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
15 es grandes disputes théologiques qui ont formé la pensée de l’Europe au cours de siècles, qui me passionnent, et que les fidèl
8 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
16 , dûment signés, témoins irréfutables du style de pensée des Européens de 1789 à 191427. I. Des jacobins à Hegel Au princ
17 solue des individus, de leurs réflexes et de leur pensée même, lutte contre les factions, centralisation des pouvoirs, raison
18 et de gagner tout l’univers au style de vie et de pensée d’une « nation mère » ? Parlant des « sauvages » de l’Empire français
9 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
19 loignons-nous de l’Europe, physiquement ou par la pensée  ; écoutons ce que nous en disent les observateurs d’outre-mer. Nous e
20 gouvernant nos sensibilités et par nos formes de pensée , d’Athènes, de Rome et de Jérusalem, et derrière ces trois villes ill
21 a providentiels ou matériels, selon les écoles de pensée , ont pu jouer. Mais la diversité de nos origines et leur discussion m
10 1960, Articles divers (1957-1962). Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de la rencontre de Berlin (extraits) (juin-juillet 1960)
22 spéculation pure et les techniques appliquées, la pensée et l’action en somme, cessent de se ridiculiser mutuellement, comme c
11 1960, Articles divers (1957-1962). La liberté et le sens de la vie (8 juillet 1960)
23 spéculation pure et les techniques appliquées, la pensée et l’action en somme, cessent de se ridiculiser mutuellement, comme c
12 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
24 loignons-nous de l’Europe, physiquement ou par la pensée  ; écoutons ce que nous en disent les observateurs d’outre-mer. Nous e
25 es gouvernant nos sentiments et par nos formes de pensée , d’Athènes, de Rome et de Jérusalem, et derrière ces trois villes ill
26 a providentiels ou matériels, selon les écoles de pensée , ont pu jouer. Mais la diversité de nos origines et leur discussion m
13 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
27 comme la sensation est la preuve du corps, et la pensée , la preuve de l’intellect. La passion, c’est une impulsion qui outrep
14 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
28 tion de la grandeur. Et plus d’obstacle devant la pensée . Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il
29 urs engagés, plutôt que des créateurs d’art ou de pensée pure. Médecins praticiens, guérisseurs d’âmes, réformateurs politique
15 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
30 s, mais une question de mentalité, d’habitudes de pensée , de réflexes acquis — de sentiment autant que de raison. Donc une que
31 fié selon les époques, les régions, les écoles de pensée , mais fondamentalement commun. En inculquant ces vérités incontestabl
16 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
32 D’autre part, je suis sûr qu’il en approuvera la pensée . Fin juillet 1940 Je rédige une brochure intitulée : Qu’est-ce que l
17 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
33 n revanche, l’une des traditions maîtresses de la pensée française, celle qui considère l’écrivain comme chargé d’une mission
34 rte ici, c’est l’efficacité d’une œuvre écrite et pensée tout entière dans la soumission absolue à une cause qui transcende l’
35 ur être mieux chantée. Trois ans s’écoulent et sa pensée mûrit, mais voilà Genève qui le rappelle. « Contre mon désir et affec
36 t rien n’est plus altièrement monotone quant à la pensée directrice : à Dieu seul tout est dû et de Lui seul tout vient. La ph