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gnent à l’universel… Et plus d’obstacle devant la
pensée
. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Burckhardt ou, dans u
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Enfin, n’oublions pas l’influence mondiale de la
pensée
théologique de Karl Barth : elle dépasse largement les limites de la
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remarque, chez les initiateurs des mouvements de
pensée
et d’action politique, des dispositions dominantes qui déterminent ne
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lgaire ; mais correspond assez bien aux formes de
pensée
introduites par la science relativiste.3 La pensée fédéraliste ne pr
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nsée introduites par la science relativiste.3 La
pensée
fédéraliste ne projette pas devant elle une utopie bien cohérente qu’
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sister sur ce double mouvement qui caractérise la
pensée
fédéraliste, sur cette interaction, cette dialectique, cette bipolari
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nos problèmes. 1. Le fédéralisme est une forme de
pensée
politique spécifiquement européenne qui prend ses sources dans la thé
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et prend ses sources dans les mêmes attitudes de
pensée
que la culture créatrice. On ne sauvera pas l’un sans l’autre. c.
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ère de grandes écoles d’art, de littérature ou de
pensée
, marquant leur temps ou propageant un style doté du nom de sa terre n
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s’en déclarent les adeptes, c’est une attitude de
pensée
et une méthode de conduite, plus qu’une doctrine ou une notion juridi
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e, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la
pensée
des sociétés. Ainsi donc, entre le fédéralisme considéré par l’espri
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échecs de l’idée européenne, ni des déchets de la
pensée
fédéraliste, ni des curiosa de l’esprit occidental que je me propose
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omis, la réserve prudente dans l’expression de la
pensée
s’il s’agit d’autre chose que des grands lieux communs mainteneurs d’
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tion de la grandeur. Et plus d’obstacle devant la
pensée
. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il
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lier, mais ce qui désormais donnait autorité à la
pensée
de Madariaga, ce n’était pas le rang, le brillant, le brio, c’était l
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oins de leur région, mais de tout un mouvement de
pensée
politique, déjà beaucoup plus large et solidement fondé que je n’osai
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oins de leur région, mais de tout un mouvement de
pensée
politique, déjà beaucoup plus large et solidement fondé que je n’osai
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us difficile à accomplir, celle des catégories de
pensée
dans lesquelles ont vécu tous nos ancêtres depuis des siècles, et que
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siques de la philosophie politique. Catégories de
pensée
non seulement invétérées jusqu’à se confondre avec une sorte d’instin
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le fédéralisme est aussi un esprit, une forme de
pensée
et de sentiment, un style de vie, une expérience et une morale. Or j’
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i les différents pôles autour desquels se meut la
pensée
et l’action de M de Rougemont. Le personnalisme « Mais qui est d
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cette diversité des thèmes, il y a continuité de
pensée
. C’est ce que nous explique M. de Rougemont. Mon ami Jacques de Bourb
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r à l’Europe (1969)y I Les plus anciennes
pensées
philosophiques de notre tradition occidentale, celles d’Héraclite l’O
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l’Autre vus ensemble, génialement assumés par la
pensée
des visionnaires de l’Ionie. Enfin les sentences d’Héraclite me propo
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éduquer, constatons qu’elle traduit une forme de
pensée
, une structure de relations bipolaires dont le « modèle » nous est co
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elé et toujours menacé, qui dénote la santé de la
pensée
européenne, sa justesse, sa mesure conquise sur le chaos de la masse
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qui définit l’apport original et spécifique de la
pensée
occidentale ; or cette définition vaut également et intégralement pou
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, mais aussi de vraies ondes…). ⁂ Notre modèle de
pensée
fédéraliste ainsi posé à la clé de l’histoire européenne, il reste à
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e, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la
pensée
des sociétés et de dicter aux hommes ces « images de comportement » d
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e à beau » (affection et réserve réciproques). Sa
pensée
n’a pour moi rien d’actuel et je doute qu’il en aille autrement pour
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é Gide : « 1. a) Dans quelle mesure l’œuvre et la
pensée
de Gide vous ont-elles influencé, b) et quels sont les aspects de sa
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les influencé, b) et quels sont les aspects de sa
pensée
qui vous paraissent les plus actuels ? 2. Gide fut de son temps un gr
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les vers se sont mis ; plusieurs frémissent à la
pensée
d’être rongés par ces vers, qu’ils croient voir sortir de leur corps,
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lume, révèle enfin, sans la moindre équivoque, la
pensée
la plus authentique d’Henry Dunant, celle qu’il ne pouvait pas encore