1 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
1 sation matérielle, c’est la standardisation de la pensée qui me paraît très dangereuse. De la pensée et des jugements moraux :
2 de la pensée qui me paraît très dangereuse. De la pensée et des jugements moraux : par la synchronisation de la presse ; par l
2 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
3 et prend ses sources dans les mêmes attitudes de pensée que la culture créatrice. On ne sauvera pas l’un sans l’autre. m. «
3 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
4 eaucoup parler), cependant que Maritain domine la pensée catholique en grand progrès, et que Karl Barth a restauré dans tous l
4 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
5 Écoutez Nietzsche : « Je veux que tu me dises ta pensée maîtresse, et non que tu t’es échappé d’un joug. » q. « L’éloge, l’
5 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
6 el, cet idéal capable d’inspirer et d’orienter la pensée , le sentiment et l’action non seulement des esprits créateurs et de l
7 llectuelle correspond à une forme schizoïde de la pensée , et conduit à un scepticisme croissant quant aux fins dernières de la
8 e. Un ethnologue, spécialisé dans l’étude de la «  pensée sauvage » découvre dans la linguistique générale de Ferdinand de Saus
9 s hommes de synthèse, un type nouveau d’hommes de pensée en qui s’incarne une sorte de conscience conjoncturelle de l’évolutio
6 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
10 onciatrices d’accidents du cœur de l’Europe. La pensée et l’action Peu de carrières ont connu tant d’alternances de pério
11 le type même de l’écrivain qui ne peut séparer la pensée de l’action, ni la passion de la lucidité. Son expérience des hommes
12 engageait. Jeter des ponts, relier l’action à la pensée , concilier les cultures ou les grands intérêts, juger sans illusion m
7 1967, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). J. Robert Oppenheimer (25 février 1967)
13 t d’Europe par les mesures et les affinités de sa pensée , mais il me donnait l’impression de représenter parmi nous quelque ch
8 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
14 le premier numéro de Hic et Nunc , une revue de pensée existentielle que je dirigeais, en collaboration avec Roger Breuil, H
15 héologiens et philosophes qui nourrissaient notre pensée étaient Karl Barth, Kierkegaard, et Heidegger que Corbin commençait à
16 masse et relie à la communauté. Maintenir dans sa pensée deux réalités antinomiques, valables l’une et l’autre, telle est pour
17 ns le même esprit, à la nécessité conjointe de la pensée et de l’action ; « penser avec les mains » ou, comme je l’écris dans
18 ans Journal d’un intellectuel en chômage  : « La pensée doit conduire l’action : mais sans agir, elle n’est pas vraie pensée.
19 e l’action : mais sans agir, elle n’est pas vraie pensée . » ⁂ Quittant Ferney-Voltaire, où des êtres humains, semblables à des
9 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
20 ’extrême, sacrificielle — d’une personne et de sa pensée en corps à corps avec l’époque. « Présence au monde et à soi-même con
21 -il répondre, sinon de son œuvre elle-même, de sa pensée et de son style ? C’est par son œuvre et non par quelque prise de pos
22 , Ionesco et Cioran, c’est-à-dire par le style de pensée polémique, le style de foi ou d’athéisme, l’imprécation lyrique ou le
10 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
23 titutive de notre histoire et le ressort de notre pensée  : l’antinomie de l’un et du divers, l’unité dans la diversité, et la
11 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
24 t du besoin d’imiter ce qui, dans un poème ou une pensée , vient d’éveiller en vous une émotion : pour la prolonger, la faire v
25 ssayez d’écrire comme lui des vers, un récit, des pensées , une confession. Au début, je trouve donc cette série : émotion, alle
26 re, et qui ne dépend nullement du processus de la pensée en train de se former par écrit : vote des femmes ou guerre du Vietna
27 puisque l’Europe est une création continue de la pensée proprement poétique, l’horizon qui se définit par rapport à notre pro
28 urai rejoint ma fin, qui est de me former sur une pensée vécue dans l’écriture. Au terme de mes livres, où figure le mot fin e