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sation matérielle, c’est la standardisation de la
pensée
qui me paraît très dangereuse. De la pensée et des jugements moraux :
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de la pensée qui me paraît très dangereuse. De la
pensée
et des jugements moraux : par la synchronisation de la presse ; par l
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et prend ses sources dans les mêmes attitudes de
pensée
que la culture créatrice. On ne sauvera pas l’un sans l’autre. m. «
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eaucoup parler), cependant que Maritain domine la
pensée
catholique en grand progrès, et que Karl Barth a restauré dans tous l
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Écoutez Nietzsche : « Je veux que tu me dises ta
pensée
maîtresse, et non que tu t’es échappé d’un joug. » q. « L’éloge, l’
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el, cet idéal capable d’inspirer et d’orienter la
pensée
, le sentiment et l’action non seulement des esprits créateurs et de l
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llectuelle correspond à une forme schizoïde de la
pensée
, et conduit à un scepticisme croissant quant aux fins dernières de la
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e. Un ethnologue, spécialisé dans l’étude de la «
pensée
sauvage » découvre dans la linguistique générale de Ferdinand de Saus
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s hommes de synthèse, un type nouveau d’hommes de
pensée
en qui s’incarne une sorte de conscience conjoncturelle de l’évolutio
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onciatrices d’accidents du cœur de l’Europe. La
pensée
et l’action Peu de carrières ont connu tant d’alternances de pério
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le type même de l’écrivain qui ne peut séparer la
pensée
de l’action, ni la passion de la lucidité. Son expérience des hommes
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engageait. Jeter des ponts, relier l’action à la
pensée
, concilier les cultures ou les grands intérêts, juger sans illusion m
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t d’Europe par les mesures et les affinités de sa
pensée
, mais il me donnait l’impression de représenter parmi nous quelque ch
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le premier numéro de Hic et Nunc , une revue de
pensée
existentielle que je dirigeais, en collaboration avec Roger Breuil, H
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héologiens et philosophes qui nourrissaient notre
pensée
étaient Karl Barth, Kierkegaard, et Heidegger que Corbin commençait à
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masse et relie à la communauté. Maintenir dans sa
pensée
deux réalités antinomiques, valables l’une et l’autre, telle est pour
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ns le même esprit, à la nécessité conjointe de la
pensée
et de l’action ; « penser avec les mains » ou, comme je l’écris dans
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ans Journal d’un intellectuel en chômage : « La
pensée
doit conduire l’action : mais sans agir, elle n’est pas vraie pensée.
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e l’action : mais sans agir, elle n’est pas vraie
pensée
. » ⁂ Quittant Ferney-Voltaire, où des êtres humains, semblables à des
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’extrême, sacrificielle — d’une personne et de sa
pensée
en corps à corps avec l’époque. « Présence au monde et à soi-même con
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-il répondre, sinon de son œuvre elle-même, de sa
pensée
et de son style ? C’est par son œuvre et non par quelque prise de pos
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, Ionesco et Cioran, c’est-à-dire par le style de
pensée
polémique, le style de foi ou d’athéisme, l’imprécation lyrique ou le
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titutive de notre histoire et le ressort de notre
pensée
: l’antinomie de l’un et du divers, l’unité dans la diversité, et la
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t du besoin d’imiter ce qui, dans un poème ou une
pensée
, vient d’éveiller en vous une émotion : pour la prolonger, la faire v
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ssayez d’écrire comme lui des vers, un récit, des
pensées
, une confession. Au début, je trouve donc cette série : émotion, alle
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re, et qui ne dépend nullement du processus de la
pensée
en train de se former par écrit : vote des femmes ou guerre du Vietna
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puisque l’Europe est une création continue de la
pensée
proprement poétique, l’horizon qui se définit par rapport à notre pro
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urai rejoint ma fin, qui est de me former sur une
pensée
vécue dans l’écriture. Au terme de mes livres, où figure le mot fin e