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e premier troubadour ose écrire de la dame de ses
pensées
: « Par elle seule je serai sauvé ! » Tout cela — qui est d’abord occ
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tions. Elles sont aux Ruines de Volney ce que les
Pensées
de Pasco sont aux Essais de Montaigne : une série de raccourcis fulgu
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roblème de la culture et cherché une morale de la
pensée
— concept absolument nouveau. (Seul Nietzsche, peut-être…) Ayant lu m
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ontinuité, d’autres diraient l’obstination, de ma
pensée
. J’ai retrouvé aussi ce souci constant : qu’une pensée ne peut être j
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e. J’ai retrouvé aussi ce souci constant : qu’une
pensée
ne peut être juste que si sa forme la vérifie. Bref, j’écris n’import
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Occident . Pour vous qui étiez si engagé dans une
pensée
politique et religieuse, comment se fait-il que l’amour vous ait inté
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age. C’est un paradoxe. Il en est d’autres. Votre
pensée
si grave… C’est vous qui le dites ! N’oubliez pas mes Lettres sur la
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me que par l’humour, et par rien d’autre. … Votre
pensée
si soucieuse de cohérence paraît connaître plus que le goût, le besoi
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ts qui sont intervenus dans nos mœurs et dans nos
pensées
depuis sa première publication en 1939 ? On a même parlé de mutation…
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par cette maxime que je lui emprunte : “Amener la
pensée
à la plus insistante vénération du réel.” Par cette vénération se tro
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rtile où les vocations pourront s’épanouir. Cette
pensée
débouche naturellement sur la scène politique, où elle se fera connaî
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al, à savoir la France : quiconque change dans sa
pensée
le terme territorial de l’équation et met à la place un terme plus pe
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s , premier ouvrage consacré à l’engagement de la
pensée
et du penseur, je répète que l’avenir est l’affaire de chacun de nous