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lées à toutes nos activités, dans la mesure où la
pensée
y est mêlée ; qu’elles entraînent et symbolisent à peu près toutes le
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par là même, conforme au mouvement profond de la
pensée
bourgeoise, sinon aux intérêts immédiats des bourgeois. Les seules vé
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elles s’accordent au plus mal avec le style de la
pensée
marxiste. La vraie violence Nous pouvons maintenant essayer de
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ialistes à Nietzsche, abus flagrant (que toute la
pensée
du poète-philosophe dénonce). Là encore, il semble qu’une certaine lo
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nt qu’on n’aura pas inventé la machine à lire les
pensées
, nous serons bien forcés de nous contenter de leur expression par le
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ont pas le même sens, ne trahissent pas les mêmes
pensées
, si l’on passe d’un groupe à un autre, d’une classe sociale, d’une ré
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l’on questionne directement les gens sur leurs «
pensées
» et préoccupations, ils ne disent rien de bien intéressant ou d’auth
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erceptibles : ce sont elles qui révèlent la vraie
pensée
du groupe. Nous en sommes là aujourd’hui : tout le monde réclame la l
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à une demande réelle du public ; s’il traduit la
pensée
réelle du lecteur allemand moyen. Il faut se rappeler que dans un éta
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clamer qu’en présence du danger, l’exercice de la
pensée
libre, ou simplement de l’intelligence, équivaut à une trahison… Enfi