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ce qu’on peut qualifier de révolutionnaire sur la
pensée
protestante dans le monde entier. Quel est donc le contenu de cette œ
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t Parole humaine donneraient une idée sinon de la
pensée
barthienne dans son plein développement, du moins de ses thèmes initi
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Il n’est pas facile de résumer sans la trahir une
pensée
à ce point hostile à tout système. La théologie de Barth se donne en
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h, après Kierkegaard, remet au premier plan de la
pensée
théologique. C’est de cette situation profondément paradoxale, assumé
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adresse et qui le meut. On a coutume de nommer la
pensée
de Barth une théologie de la crise, une théologie dialectique. Elle e
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s éclatante réponse à tous ceux qui accusaient la
pensée
barthienne d’être purement négative et désespérée. « Ici le paradoxe
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d’après Calvin comme un simple commentaire de la
pensée
du réformateur. N’allons pas commenter à notre tour cette glose. Ce q
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reprennent le vocabulaire et certains tours de la
pensée
de Kierkegaard ou de Karl Barth, M. Dominicé, qui n’ignore pas ces in
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géniale à penser abstraitement. » Dès le début sa
pensée
directrice est essentiellement personnaliste. La rénovation de l’homm
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des rois et du haut clergé. Il semble bien que la
pensée
dominante, dans toute cette guerre faite à la foi évangélique, ait ét
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e où il veut. Les prévisions des historiens de la
pensée
ne semblent pas peser bien lourd sur ses décisions souveraines. Comme
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ui porte tant de bons esprits, chez nous, vers la
pensée
de Kierkegaard, surgissant lentement, terriblement, des ombres du Siè
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de la foi, au moment décisif où, d’autre part, la
pensée
de son grand disciple et continuateur, Karl Barth, pénètre et fait re
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uateur, Karl Barth, pénètre et fait revivre notre
pensée
évangélique ? Et voici que cette conjonction du poète philosophe et d
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Le Senne, appartient à la première période de la
pensée
kierkegaardienne. La question que pose cette œuvre, c’est celle de la
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Wahl pour faire connaître à l’élite française la
pensée
de Søren Kierkegaard : c’est un titre qui compte, et dont la pensée p
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erkegaard : c’est un titre qui compte, et dont la
pensée
protestante saura mesurer la valeur. ⁂ Qu’est-ce que la foi ? demanda
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années qui viennent, un essor tout nouveau de la
pensée
chrétienne. On aurait tort d’assimiler cette renaissance à la belle f
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yeux des chefs d’école ; ni des docteurs dont la
pensée
fait loi, une fois sanctionnée par l’Église. Ils sont avant tout des
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sur cette distinction fondamentale pour toute la
pensée
réformée. Qu’est-ce qu’un témoin ? C’est un homme qui n’est pas l’inv
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u le luthérisme, ce sont bien moins des normes de
pensée
que des chemins vers l’Évangile. L’Évangile seul, éclairé par l’Espri
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rit de tout protestant, deux grands mouvements de
pensée
et d’action dont il fut l’un des principaux initiateurs : le christia
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’aspect théologique de cet ouvrage : son style de
pensée
, sa démarche insolite et dramatique ont bien de quoi retenir le lecte
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cœur même du grand débat occidental, celui de la
pensée
« pure » et de la pensée « engagée ». Elle met entre nos mains la piè
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occidental, celui de la pensée « pure » et de la
pensée
« engagée ». Elle met entre nos mains la pièce capitale du procès : l
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dir. Car personne n’a mieux incarné la volonté de
pensée
militante que ce petit moine qui, à Worms, osa dresser contre l’oppor
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evant de la seule théologie. Il est au cœur de la
pensée
humaine. Tout homme qui veut penser son existence en termes radicaux,
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ont le titre, La Folle Vertu, illustre bien votre
pensée
? Oui, je l’ai écrit presque en même temps que L’Amour et l’Occident
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ourants européens, les grandes écoles d’art et de
pensée
: c’est l’unité de notre culture commune. Mais qu’en est-il de nos di
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ui nous diversifient vraiment, mais les écoles de
pensée
, les styles de vie. Supprimez les frontières nationales, vous n’appau