1 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
1 n au soviétisme d’un certain nombre d’« hommes de pensée  » résulte, à notre sens, d’une psychose de démission. Survenant au mo
2 ssent tout ce qui suppose une « actualité » de la pensée  : ils croient à l’Histoire. Ils veulent que l’esprit se perde dans l’
3 esprit. Défaitisme, essentielle inactualité de la pensée , telles sont en définitive les caractéristiques de l’intelligentsia c
2 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
4 st à eux qu’il appartient de rechercher dans leur pensée les origines concrètes des grands faits qui bouleversent le monde. C’
3 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
5 est loin d’en avoir fini avec les courants de la pensée révolutionnaire qui menacent de le faire dévier… Dans ces conditions,
4 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
6 encombrent la vie publique et qui empoisonnent la pensée . J’ai à lutter, aussi, contre tous les entraînements de gauche ou de
7 hantises sentimentales, pour rester maître de ma pensée et de mes actes au milieu de l’excitation générale et stérile qui car
5 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
8 core leur rôle comme un service de l’art et de la pensée . Nous dirons tout à l’heure comment s’appelle l’agent qui a su concré
9 domaine des gros chiffres, qui est la mort de la pensée . 3. Obligé de vendre beaucoup et à tout prix, l’éditeur est contraint
6 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
10 même. C’est l’acte même d’un créateur dont notre pensée se forme en puissance d’acte. Ainsi quand nous parlons d’autorité spi
7 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
11 ionalisme autarchique qui est à l’opposé de notre pensée . 46. Cf. Dictature de la liberté, de Robert Aron. On sait que ce tit
8 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
12 M. Friedmann, comme tous les écrivains dont la «  pensée  » tend à se confondre avec les directives tactiques de Moscou, refuse
9 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
13 eur style traduisait fidèlement les nuances d’une pensée détachée, irresponsable par définition. Il n’y a pas que du mal à en
14 totalitaire. Nous avons constaté que rien, ni la pensée , ni l’acte individuel, n’est en réalité gratuit. Que tout se paye. Qu
15 n ce vice qu’est la distinction libérale entre la pensée et l’action. Au lieu de préciser, par exemple, le sens de ce mot d’en
16 nt tout le monde abuse aujourd’hui. ⁂ Pour qu’une pensée s’engage dans le réel, il ne faut pas et il ne suffit pas qu’elle se
17 ans l’utilisation accidentelle et partisane d’une pensée que réside son engagement. C’est au contraire dans sa démarche intime
18 bler paradoxal de soutenir que l’engagement d’une pensée suppose sa libération. En vérité, c’est le libéralisme qui a répandu
19 ignes ridiculisent toute espèce d’engagement. Une pensée qui, par sa nature et son mouvement originel, est libérale, irrespons
20 ue antifascisme, mais de s’attaquer à la forme de pensée d’où vont nécessairement sortir le fascisme et le stalinisme. Et c’es
21 sortir le fascisme et le stalinisme. Et c’est la pensée libérale. Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en ran
22 cidé tout récemment de renoncer à l’usage de leur pensée devant la menace hitlérienne (voir le manifeste de Ce Soir) ont expri