1
ontradictoires. Êtes-vous sincères en actes ou en
pensées
; envers vous-mêmes ou quelque doctrine acceptée ; envers votre idéal
2
Max Jacob. « Être sincère, c’est avoir toutes les
pensées
» (Rivière). Mais on ne peut se maintenir dans cet état. Ce « mensong
3
spoir. Désespoir étroit, ces œillères géantes aux
pensées
, le ciel trop bas d’un rêve sans issue, pesant comme l’envie d’un som
4
nt désespéré qui vous appelait, assourdissant mes
pensées
; et ces élans réticents, maladroits, contradictoires… Un autobus de
5
é. À minuit, tellement épuisé que je mêlais à mes
pensées
des fragments de rêves et les personnages des affiches, tout en march
6
les les œuvres d’un écrivain, les démarches de sa
pensée
, ses délires, ses visions. Un critique qui n’épouse pas le rythme d’u
7
posez un cocktail en guise de métaphore, avec une
pensée
tendre pour un ami poète. « L’autre jour au Grand Écart… », dit quelq
8
ne chose, c’est avoir puissance sur elle. Images,
pensées
des autres, je vous ai mis un collier avec le nom du propriétaire ; t
9
que vous attendez d’elle. Pour dire le fond de ma
pensée
, je crois ce mépris et cette attente également exagérés. Vous savez b
10
c’est à condition qu’on ne l’écrive pas, même en
pensée
. La poésie pure écrite est inconcevable : cela consisterait dans l’ex
11
arde. ⁂ La sauce est au rôti ce que le style à la
pensée
. Il arrive qu’on parle, en art culinaire, du style d’un rôti, et en c
12
. Écoutez-moi bien, Sonnette : Vos actions et vos
pensées
, votre conception de l’amour se réfèrent en vérité à une carte postal
13
e leur lieu, établis en ce lieu la demeure de tes
pensées
. Ainsi, nous dit la Fable, fit Myscille, habitant d’Argos. N’ayant p
14
’est à la théologie que nous irons demander de la
pensée
, c’est-à-dire de la pensée créatrice, c’est-à-dire de la pensée obéis
15
s irons demander de la pensée, c’est-à-dire de la
pensée
créatrice, c’est-à-dire de la pensée obéissante : car il n’est d’acti
16
à-dire de la pensée créatrice, c’est-à-dire de la
pensée
obéissante : car il n’est d’action véritable que celle de la foi, lor
17
que le thomisme a exercé à un moment donné sur la
pensée
protestante. On comprend également le retour à Calvin, comme aussi la
18
par Barth et son école (p. 14). L’adhésion à une
pensée
nouvelle est-elle suffisamment expliquée par l’insuffisance de la pen
19
e suffisamment expliquée par l’insuffisance de la
pensée
ancienne ? Les historiens le croient volontiers. Mais on ne saurait d
20
. Le secret de notre adhésion à Barth est dans la
pensée
de Barth elle-même, et non pas dans je ne sais quelle « réaction ». E
21
approfondissant et en élargissant son horizon de
pensée
. Peut-on dire que notre civilisation soit chrétienne ? Peut-on dire
22
sement » ou « élargissement » de notre horizon de
pensée
, nous demandons passionnément et lourdement ce que cela peut bien sig
23
s buts sont aussi vaguement définis. Car là où la
pensée
n’a rien osé distinguer de précis, c’est là que l’action des hommes d
24
ariants chrétiens tels que le développement de la
pensée
moderne nous aide en toute loyauté à les affirmer (p. 16). Pourquoi
25
r les données présentes » — « développement de la
pensée
moderne » par « approfondissement de la pensée paulinienne, calvinien
26
la pensée moderne » par « approfondissement de la
pensée
paulinienne, calvinienne, luthérienne, kierkegaardienne, dialectique…
27
cette sotte espèce américaine — mais en homme de
pensée
agissante. Nous méprisons trop facilement la culture au nom de l’acti
28
est d’action créatrice que soumise à la loi d’une
pensée
rigoureuse ; il n’est de pensée saine qu’engagée dans une œuvre effic
29
se à la loi d’une pensée rigoureuse ; il n’est de
pensée
saine qu’engagée dans une œuvre efficace, au sein de contingences quo
30
cette exigence de service, cet abaissement de la
pensée
aux choses, cet acte de présence au monde est l’achèvement suprême, e