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yais cette ville, où tout portait les marques des
pensées
qu’agitait cet homme ; cette ville habitée et gouvernée par des chrét
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; cette unité vivante, cette communauté où toute
pensée
et toute action se répondaient, où il était normal, salutaire et logi
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ù il va. Il n’y a plus de commune mesure entre la
pensée
et l’action. La cité n’est plus dominée par une norme et un but commu
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pirituelle : retrouver cette commune mesure de la
pensée
et de l’action, de la culture et de l’économie ; or, elle ne peut êtr
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de leur mesure commune, de leur règle centrale de
pensée
et d’action, ou si l’on veut, pour simplifier, de leur morale. Et tou
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me cohérent, englobant à la fois l’économie et la
pensée
, et toutes les lois de la cité. Or, c’est à bâtir ce système, à dével
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intenant dans leur domaine quotidien, celui de la
pensée
et de l’action auquel travaillent les groupes personnalistes. Qu’ils