1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 de ce genre que j’ai pu distinguer, jusqu’ici, la pensée véritable des hommes avec qui je vais vivre. Comme tous les refoulés,
2 ption du monde fondée sur la force du fait, où sa pensée ne trouve plus de repères. Il est d’ailleurs injuste, ou inexact, de
3 encombrent la vie publique et qui empoisonnent la pensée . J’ai à lutter, aussi, contre tous les entraînements de gauche ou de
4 hantises sentimentales, pour rester maître de ma pensée et de mes actes au milieu de l’excitation générale et stérile qui car
5 travaille quelque temps comme valet de ferme. La pensée de servir son peuple déchu ne cesse de tourmenter son cœur, tandis qu