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de ce genre que j’ai pu distinguer, jusqu’ici, la
pensée
véritable des hommes avec qui je vais vivre. Comme tous les refoulés,
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ption du monde fondée sur la force du fait, où sa
pensée
ne trouve plus de repères. Il est d’ailleurs injuste, ou inexact, de
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encombrent la vie publique et qui empoisonnent la
pensée
. J’ai à lutter, aussi, contre tous les entraînements de gauche ou de
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hantises sentimentales, pour rester maître de ma
pensée
et de mes actes au milieu de l’excitation générale et stérile qui car
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travaille quelque temps comme valet de ferme. La
pensée
de servir son peuple déchu ne cesse de tourmenter son cœur, tandis qu