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es événements. Ils mènent le jeu, jusque dans mes
pensées
. Désorganisent la méditation. Et me contraignent à n’écrire que des f
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s’opposer), ont déchu au-dessous du niveau où la
pensée
est encore agissante. S’il y a divorce entre culture et masses, ce se
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ion permanente, préventive… Militarisation de nos
pensées
, de nos images. Hier, dans l’autobus, une petite bourgeoise assise de
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secret des peuples de l’Europe : se rassurer à la
pensée
que la catastrophe est générale, qu’il n’y a plus de pays épargnés, e
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ux côtés, et vous sortez angoissé et honteux à la
pensée
d’avoir jamais écrit, de vous être jamais livré à ces extravagances n
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de nos écoles d’Europe, cherchant une méthode de
pensée
plutôt que des fondements spirituels, compensant par la brusquerie de
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sur l’émotion, la logique sur l’astuce vitale, la
pensée
discursive sur l’intuition, et la culture du sentiment sur celle des
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sans défaut, sans relâche et sans repentir, d’une
pensée
qui soit digne encore d’être pensée, d’être reçue, dans le monde étab
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pentir, d’une pensée qui soit digne encore d’être
pensée
, d’être reçue, dans le monde établi par une seule fugue de Bach ?