1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 es événements. Ils mènent le jeu, jusque dans mes pensées . Désorganisent la méditation. Et me contraignent à n’écrire que des f
2 s’opposer), ont déchu au-dessous du niveau où la pensée est encore agissante. S’il y a divorce entre culture et masses, ce se
3 ion permanente, préventive… Militarisation de nos pensées , de nos images. Hier, dans l’autobus, une petite bourgeoise assise de
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 secret des peuples de l’Europe : se rassurer à la pensée que la catastrophe est générale, qu’il n’y a plus de pays épargnés, e
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 ux côtés, et vous sortez angoissé et honteux à la pensée d’avoir jamais écrit, de vous être jamais livré à ces extravagances n
6 de nos écoles d’Europe, cherchant une méthode de pensée plutôt que des fondements spirituels, compensant par la brusquerie de
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 sur l’émotion, la logique sur l’astuce vitale, la pensée discursive sur l’intuition, et la culture du sentiment sur celle des
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
8 sans défaut, sans relâche et sans repentir, d’une pensée qui soit digne encore d’être pensée, d’être reçue, dans le monde étab
9 pentir, d’une pensée qui soit digne encore d’être pensée , d’être reçue, dans le monde établi par une seule fugue de Bach ?